L'Homme assis dans le couloir
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de Marguerite Duras
Mise en scène de Marie-Martine Cheveaux
Avec Florence Carrique-Allaire, Renaud Farah, Violoncelle Birgit Yew, Marie-Martine Cheveaux
Ce texte est une longue traversée du désir. La traversée d'un amour fou, fulgurant.
Ce texte est une nouvelle, une uvre littéraire. La difficulté de son passage à la scène est de restituer la beauté esthétique d’une écriture déchirée, poétique, abrupte en même lieu que l’intensité érotique et charnelle de l’histoire. Donner à entendre le labyrinthe du texte et mettre en uvre le brasier entre ces deux êtres.Dans L’Homme assis dans le couloir, l’homme et la femme ne parlent pas, l’intensité du désir est telle qu’ils ne peuvent pas parler comme écrasés par les corps. La compagnie a choisi de travailler dans une dichotomie entre texte et corps. Ce couple n’existe pas sans le regard de cette autre femme, l’auteur, représentée sur le plateau uniquement par la voix. Un violoncelle, sur scène, fait écho à la voix de l’auteur, ils forment un chur, le chur du désir féminin, du fantasme de l’auteur.
30/07/2009
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
Théâtre de l'Etincelle
de François Brett
Mise en scène de Geneviève Brett
Génial ! Un dramaturge écrit une pièce de théâtre, mais il est en mal d'inspiration. Sa compagne n'est pas super adhérente à sa nouvelle dramaturgie. Survient un personnage, non invité, qui bouscule la routine de ce couple. Le Diable, de son prénom Méphisto, veut emporter...
L'avis de Geneviève Brissot
Théâtre de l'Etincelle
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AVIGNON
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Mephisto valse
de François BrettMise en scène de Geneviève Brett
Génial ! Un dramaturge écrit une pièce de théâtre, mais il est en mal d'inspiration. Sa compagne n'est pas super adhérente à sa nouvelle dramaturgie. Survient un personnage, non invité, qui bouscule la routine de ce couple. Le Diable, de son prénom Méphisto, veut emporter...
L'avis de Geneviève Brissot