Miloud - Mi-raisin
de Miloud Berrahal
Mise en scène de Miloud Berrahal
Un one man show 100 "pur" 100 humour noir.
Kamikazes, accrochez-vous ! Le spectacle de Miloud mèle provocation et humour noir. Il se moque des sujets qui fâchent : la Sécu, Le Pen, la prison, l'intégrisme, Ben Laden... Encore ? Miloud se dit lui-même misogyne, voleur, raciste, intégriste... Bref, provocateur !Pas de panique, les sketches dédramatisent les situations : Miloud les tourne en dérision, le public se décoince... et rit volontiers.Dès le début de son show, Miloud chauffe l'assistance. Objectif : mettre les spectateurs à l'aise. A l'aise ? Pas tout à fait, car Miloud joue et se joue du public, il se précipite sur la moindre de ses failles : quelqu'un qui rit un peu trop fort, un couple qui arrive en retard ou deux blondes qui ont choisi - les pauvres ! - de s'installer au premier rang... Vous n'avez qu'à bien vous tenir ! Heureusement, Miloud arbore à chaque fois son sourire coquin qui sait si bien détendre l'atmosphère. L'artiste entretient une vraie relation avec son auditoire et donne l'impression d'improviser tout au long de la représentation. Miloud reste attentif aux réactions de la salle, il écoute et réagit immédiatement. Du coup, les rires fusent et on en redemande. Et tant pis si les enchaînements sont parfois un peu tirés par les cheveux. Attention, chaud devant !
Adelaïde Haslé
28/10/2005
AVIGNON
Théâtre Girasole
Mise en scène de Valérie Ortiz
Ils dansent, ils jouent, il chante. C'est magique. Tout est harmonieux dans ce spectacle de flamenco. La danse et la musique nous entraînent dans les émotions les plus variées. De la souffrance à la joie. C'est presque un langage cette danse. Deux danseurs, une danseuse, quatre...
L'avis de Geneviève Brissot
Théâtre Girasole
AVIGNON
momentos
de Valérie OrtizMise en scène de Valérie Ortiz
Ils dansent, ils jouent, il chante. C'est magique. Tout est harmonieux dans ce spectacle de flamenco. La danse et la musique nous entraînent dans les émotions les plus variées. De la souffrance à la joie. C'est presque un langage cette danse. Deux danseurs, une danseuse, quatre...
L'avis de Geneviève Brissot