Ecroué de rire
de David Desclos
Mise en scène de Stomy Bugsy, Sally Micaleff (collaboration artistique)
Avec David Desclos
L'histoire vraie d'un ex (gentil) bandit devenu comédien...
C'est l'histoire de David, jeune délinquant connu dès l'adolescence par la police, les juges et les maisons d'arrêt pour vols, petits larcins et délits. Il va nous raconter, lui-même, son histoire qui prend une coloration particulière puisqu'elle n'est pas inventée…
Le spectacle commence par une courte projection sur écran en fond de scène. Images et commentaires d'actualité sur la cavale de David Desclos, dit "David Lupin", qui après avoir été arrêté pour une tentative de cambriolage de la Société Générale de Caen par les égouts, prend la tangente lors d'un transfert. En 2000, sur les conseils de sa femme Nora, il se livre à la justice et s'en prend cette fois pour 8 ans bien que n'ayant jamais utilisé armes et violence…
Il ira de maisons d'arrêt en prisons, connaitra les cellules exiguës, les codétenus plutôt destinés aux hôpitaux psychiatriques et le bruit continu jour et nuit. Il réclamera des journées d'isolement pour enfin être seul, au calme et commencera à écrire au milieu des rats silencieux.
David nous livre mille et un détails de sa vie d'embrouilles et de ses incarcérations avec beaucoup d'humour. C'est un tchatcheur, un excellent conteur, revenu d'un peu de tout mais très doué pour l'écriture et la manière d'utiliser sa personnalité. Il n'a pas l'intention de faire pleurer dans les chaumières, c'est pas le genre du garçon. Il assume, il a su prendre du recul et admettre que certains juges ne voulaient que le remettre sur les rails.
Il aime la scène, ça se sent, il est fait pour ça. Il essaie aussi de convaincre les jeunes en dérive que la vie n'est pas seulement la prison et qu'on peut s'en sortir par une passion. David Desclos est un homme sympathique, plein de talent, spontané et direct qui mérite toute notre attention.
Le spectacle commence par une courte projection sur écran en fond de scène. Images et commentaires d'actualité sur la cavale de David Desclos, dit "David Lupin", qui après avoir été arrêté pour une tentative de cambriolage de la Société Générale de Caen par les égouts, prend la tangente lors d'un transfert. En 2000, sur les conseils de sa femme Nora, il se livre à la justice et s'en prend cette fois pour 8 ans bien que n'ayant jamais utilisé armes et violence…
Il ira de maisons d'arrêt en prisons, connaitra les cellules exiguës, les codétenus plutôt destinés aux hôpitaux psychiatriques et le bruit continu jour et nuit. Il réclamera des journées d'isolement pour enfin être seul, au calme et commencera à écrire au milieu des rats silencieux.
David nous livre mille et un détails de sa vie d'embrouilles et de ses incarcérations avec beaucoup d'humour. C'est un tchatcheur, un excellent conteur, revenu d'un peu de tout mais très doué pour l'écriture et la manière d'utiliser sa personnalité. Il n'a pas l'intention de faire pleurer dans les chaumières, c'est pas le genre du garçon. Il assume, il a su prendre du recul et admettre que certains juges ne voulaient que le remettre sur les rails.
Il aime la scène, ça se sent, il est fait pour ça. Il essaie aussi de convaincre les jeunes en dérive que la vie n'est pas seulement la prison et qu'on peut s'en sortir par une passion. David Desclos est un homme sympathique, plein de talent, spontané et direct qui mérite toute notre attention.
Jeanne-Marie Guillou
22/07/2018
AVIGNON
BA Théâtre (anciennement Sham's bar théâtre)
Mise en scène de Thierry De Pina
Marie Pierre va voir son père veuf et malade, tous les mardis, et vont faire les courses à Monoprix. Ils connaissent tout le monde dans le quartier, et les voisins, et les relations, et les gens regardent Marie Pierre. Ils ne savent pas quoi dire, certains sont gênés, les autres ignorent....
L'avis de Geneviève Brissot
BA Théâtre (anciennement Sham's bar théâtre)
AVIGNON
Le mardi à Monoprix
de Emmanuel DarleyMise en scène de Thierry De Pina
Marie Pierre va voir son père veuf et malade, tous les mardis, et vont faire les courses à Monoprix. Ils connaissent tout le monde dans le quartier, et les voisins, et les relations, et les gens regardent Marie Pierre. Ils ne savent pas quoi dire, certains sont gênés, les autres ignorent....
L'avis de Geneviève Brissot