Il ne faut jurer de rien
de Alfred Musset
Mise en scène de Laurent Czerniak
Avec Laurent Czerniak, Nicolas Lemaire, Elisa Perrot, Marie Crapanzano, Sébastien Bourbon, Svetlana Semusheva, Vanessa Dieu
Un clown... au milieu de 5 autres personnages du XIXe siècle pour redonner vie à l'une des plus belles comédies romantiques du répertoire : Il ne faut jurer de rien d'Alfred de Musset.
L’heure était douce ce soir-là pour une rencontre particulière dans un lieu tout aussi particulier ouvert au Festival Of, le Camping Pont d’Avignon. Rencontre avec Alfred de Musset, une comédie romantique revisitée par une troupe talentueuse, la Compagnie PHK services. D’abord, piqûre de rappel !
"Doutant des femmes pour avoir si souvent usé de leurs faveurs, le jeune et léger Valentin se refuse au mariage, au grand désespoir de son oncle, le négociant Van Buck, qui, tout en le morigénant, paie ses dettes au jeu. Il menace donc son neveu de le déshériter s’il refuse d’épouser la jeune Cécile de Mantes. Valentin parie alors qu’il réussira à séduire la belle en trois jours – ce qui lui permettrait de refuser qu’une jeune fille aussi facilement conquise puisse devenir sa femme. En 1836, Il ne faut jurer de rien, que Musset fait paraître avec le sous-titre de "proverbe", est la pièce la plus représentative de sa seconde manière, assagie. C’en est fini des passions brûlantes, des innocentes fatales et des beaux ténébreux, et ce ton nouveau est celui de la drôlerie et de l’humour, même si cette légèreté n’empêche pas qu’on puisse frôler le drame. Lorsque la pièce sera représentée douze ans plus tard, le public ne la boudera pas : ce sera l’un des premiers triomphes de Musset au théâtre..."
Sauf que… L’idée de Laurent Czerniak d’inclure intelligemment des clowns au spectacle ouvre ce dernier à un public plus large. Du fait, on assiste là à une explosion de gags en tout genre qui n’est pas pour déplaire à tous, aux enfants notamment. A voir, avec plaisir.
"Doutant des femmes pour avoir si souvent usé de leurs faveurs, le jeune et léger Valentin se refuse au mariage, au grand désespoir de son oncle, le négociant Van Buck, qui, tout en le morigénant, paie ses dettes au jeu. Il menace donc son neveu de le déshériter s’il refuse d’épouser la jeune Cécile de Mantes. Valentin parie alors qu’il réussira à séduire la belle en trois jours – ce qui lui permettrait de refuser qu’une jeune fille aussi facilement conquise puisse devenir sa femme. En 1836, Il ne faut jurer de rien, que Musset fait paraître avec le sous-titre de "proverbe", est la pièce la plus représentative de sa seconde manière, assagie. C’en est fini des passions brûlantes, des innocentes fatales et des beaux ténébreux, et ce ton nouveau est celui de la drôlerie et de l’humour, même si cette légèreté n’empêche pas qu’on puisse frôler le drame. Lorsque la pièce sera représentée douze ans plus tard, le public ne la boudera pas : ce sera l’un des premiers triomphes de Musset au théâtre..."
Sauf que… L’idée de Laurent Czerniak d’inclure intelligemment des clowns au spectacle ouvre ce dernier à un public plus large. Du fait, on assiste là à une explosion de gags en tout genre qui n’est pas pour déplaire à tous, aux enfants notamment. A voir, avec plaisir.
Pierpatrick
27/07/2016
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