




Ecoutez grincer les coquilles de moules
de Birgit Vanderbeke
Mise en scène de Geneviève Koechlin
Avec Geneviève Koechlin
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Du 06/07/2016 au 30/07/2016
20h10.
Les Ateliers d'Amphoux
10-12, rue d'Amphoux
84000 AVIGNON
04 90 86 17 12
Un seul en scène drôle et vertigineux où la fille, maintenant adulte, raconte ce fameux soir où la famille a basculé.
Aujourd'hui on s'active dans la cuisine. On gratte, on lave, on frotte, on rince les moules. A chaque retour du père, le vendredi après un déplacement ou une augmentation, on mange des moules. La mère n'aime pas trop çà mais son mari, si. Il devient fou au moindre grain de sable sous une dent. Il a aussi d'autres exigences : diner tous les soirs à 18 heures sur une nappe blanche. Il est intransigeant. C'est un couple, avec une fille et un garçon, apparemment banal.
La gamine égrène ses souvenirs de petite fille ordinaire à la vie terne. Sans excès ni démesure, nous allons découvrir une famille plus étrange qu'elle n'y paraît. Une anecdote, une fêlure et on s'aperçoit que le père est ombrageux et violent. De son côté, la mère, soumise, veut faire bonne figure. Les enfants sont mal aimés.
Presque sur le ton de la conversation avec le public, sans médisance, la narration se fait amicale. Petits détails par-ci, par-là, comme des éclats de verre qu'on ne voit pas mais qui nous coupent le bout du doigt, qui s'infecte sans qu'on y prenne garde. On est emporté dans le récit jusqu'au point d'un non-retour...
Le texte, tiré du roman de Birgit Vanderbeke (Dîner de moules) est prenant car les aveux sont émouvants. La comédienne Geneviève Kchlin est chaleureuse, vive et pleine d'humour. C'est le constat d'une époque où des familles entières fuyaient l'est pour l'ouest, une époque grise et difficile. Comment ont grandi ces enfants du mur de Berlin ?...
La gamine égrène ses souvenirs de petite fille ordinaire à la vie terne. Sans excès ni démesure, nous allons découvrir une famille plus étrange qu'elle n'y paraît. Une anecdote, une fêlure et on s'aperçoit que le père est ombrageux et violent. De son côté, la mère, soumise, veut faire bonne figure. Les enfants sont mal aimés.
Presque sur le ton de la conversation avec le public, sans médisance, la narration se fait amicale. Petits détails par-ci, par-là, comme des éclats de verre qu'on ne voit pas mais qui nous coupent le bout du doigt, qui s'infecte sans qu'on y prenne garde. On est emporté dans le récit jusqu'au point d'un non-retour...
Le texte, tiré du roman de Birgit Vanderbeke (Dîner de moules) est prenant car les aveux sont émouvants. La comédienne Geneviève Kchlin est chaleureuse, vive et pleine d'humour. C'est le constat d'une époque où des familles entières fuyaient l'est pour l'ouest, une époque grise et difficile. Comment ont grandi ces enfants du mur de Berlin ?...
Jeanne-Marie Guillou
23/07/2016

PARIS
Café de la Gare
de Jérémy Manesse
Mise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot
Café de la Gare
PARIS





le pire premier rencart de l'histoire
de Jérémy ManesseMise en scène de Ludivine De Chastenet
Ils ont rendez-vous dans un bar, où il y a plein de monde. Ils se trouvent.... se jaugent.... Et tout va vers le pire. Faut dire que la serveuse n'y met pas du sien. Le patron a des soucis.....Et c'est........................... Quatre comédiens talentueux, se déchaînent. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot

