Cul de sac
de Kroupit, Jean Bojko
Mise en scène de Jean Bojko
Avec Kroupit
Monsieur François est un employé ordinaire. Comme tout employé ordinaire, il se rend à un rendez-vous ordinaire au siège social ordinaire d'une administration tout aussi ordinaire... Un spectacle visuel et sonore... et vivant !
Du noir pour commencer. Puis un son étrange et assourdissant qui s’amplifie à mesure que les lumières laissent apparaître la scène et... rien. En fait, pas grand-chose : deux pendrions noirs parallèles tombant verticalement au lointain, et le plateau... vide. Mais ce vide va bientôt se remplir, grâce à Monsieur François, un clown d’un genre nouveau, l’employé de bureau modèle : costume noir trois pièces, cravate rouge, affublés d’un attaché-case, aussi
vide que le plateau. Ce Monsieur "vous et moi", en somme, va évoluer dans un
univers sonore créé à partir de bruits du quotidien et d’espaces lumineux.Entre le break et la pantomime, ce qui est ordinaire deviendra
extraordinaire. Comme tout bon clown, le voilà pris au piège par tout ce qui se met sur son chemin : l’ascenseur, les portes, la machine à café, les poignées de portes, les murs... Il plonge littéralement dans un monde abstrait et onirique, allant jusqu’à la "rupture" complète (une chute
phénoménale dans l’orchestre !) pour rappeler au public que, finalement, tout
ceci n’est qu’un spectacle ! Ceci dit, il semble que les enfants n’aient pas assez de références visuelles et sonores pour faire le lien entre ce qui se passe sur scène et ce qu’ils sont censés devoir imaginer. Difficile de retrouver, à la sortie du spectacle, la vie "de tous les jours", sans avoir encore présents à l’oreille et en mémoire les facéties de Monsieur François, alias Kroupit. Le comédien pour qui le spectacle n’est
qu’un prétexte pour se rapprocher de l’autre, offre aux spectateurs, non
seulement une vision poétique du quotidien mais aussi, la possibilité de casser le fameux "quatrième mur" en partageant, à la fin du spectacle, un petit verre de vin rosé avec vous !
vide que le plateau. Ce Monsieur "vous et moi", en somme, va évoluer dans un
univers sonore créé à partir de bruits du quotidien et d’espaces lumineux.Entre le break et la pantomime, ce qui est ordinaire deviendra
extraordinaire. Comme tout bon clown, le voilà pris au piège par tout ce qui se met sur son chemin : l’ascenseur, les portes, la machine à café, les poignées de portes, les murs... Il plonge littéralement dans un monde abstrait et onirique, allant jusqu’à la "rupture" complète (une chute
phénoménale dans l’orchestre !) pour rappeler au public que, finalement, tout
ceci n’est qu’un spectacle ! Ceci dit, il semble que les enfants n’aient pas assez de références visuelles et sonores pour faire le lien entre ce qui se passe sur scène et ce qu’ils sont censés devoir imaginer. Difficile de retrouver, à la sortie du spectacle, la vie "de tous les jours", sans avoir encore présents à l’oreille et en mémoire les facéties de Monsieur François, alias Kroupit. Le comédien pour qui le spectacle n’est
qu’un prétexte pour se rapprocher de l’autre, offre aux spectateurs, non
seulement une vision poétique du quotidien mais aussi, la possibilité de casser le fameux "quatrième mur" en partageant, à la fin du spectacle, un petit verre de vin rosé avec vous !
Mélanie Lasry
15/07/2004
AVIGNON
l'Episcène
Mise en scène de Jérôme Jacob-Paquay
Un homme qui fuit le monde, vit dans une grotte, et décide de nous raconter l'histoire de ce petit garçon, vous savez, ce petit garçon qui aime se promener dans la forêt. Et qui découvre un jour......................Cet homme nous raconte sa vie, ses pensées, ses désirs. C'est...
L'avis de Geneviève Brissot
l'Episcène
AVIGNON
Des Chèvres en Corrèze
de Dimitri LepageMise en scène de Jérôme Jacob-Paquay
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