![](../img/t.gif)
![](../img/z.gif)
![](../img/t.gif)
![](../img/z.gif)
![](../img/t.gif)
Le Cid
de Corneille
Mise en scène de Jean-Philippe Daguerre
Avec Stéphane Dauch, Johann Dionnet, Manon Guilbert, Kamel Isker, Maïlis Jeunesse ou Mona Thanaël, Didier Lafaye, Antonio Matias, Charlotte Matzneff, Christophe Mie, Sophie Raynaud, Yves Roux, Petr Ruzicka
-
-
Jusqu'au 22/05/2016
Théâtre Michel
38, rue des Mathurins
75008 PARIS
Métro Havre-Caumartin (ligne 3-9)
01 42 65 35 02
Site Internet
Le Cid de Jean-Philippe Daguerre, une mise en scène digne des grandes heures du théâtre français, un spectacle intense et magnifiquement interprétés par les comédiens de la Compagnie théâtrale Le Grenier de Babouchka.
La Compagnie théâtrale Le Grenier de Babouchka, un ensemble artistique qui, depuis 2003, travaille avec ferveur les œuvres classiques de la littérature française. L'Avare, Les Précieuses Ridicules, Le Malade imaginaire, Les Fourberies de Scapin (actuellement au Théâtre Michel), Cyrano de Bergerac (joué au Théâtre du Ranelagh), et pour l'heure Le Cid au Théâtre Michel.
Des pièces restituées dans le respect de l'écriture de Molière, de Corneille et d'Edmond Rostand. Des mises en scène qui introduisent le savoir-art et l'exigence d'un homme pour qui le mot 'théâtre' se renouvelle à chaque création, Jean-Philippe Daguerre. A n'en point douter que ses prochains spectacles en préparation réserveront de belles surprises.
Le théâtre de la Compagnie Le Grenier de Babouchka, un théâtre conçu pour la famille. Les enfants découvrent des auteurs illustres, les parents se rappellent des textes étudiés au collège et au lycée, les grands-parents dépoussièrent leur mémoire. Les yeux des 7 à 97 ans brillent de mille feux à chaque représentation et les applaudissements en témoignent.
Rideau sur Le Cid. Chimène est éprise de Rodrigue. Don Gomès, le père de Chimène, et Don Diègue, le père de Rodrigue, s'emportent dans une colère rouge sang. Rodrigue devient le bras vengeur de son père et tue en duel Don Gomès. Le mariage semble compromis, l'intrigue s'installe dans un sentiment d'hostilité, le fil de l'histoire tutoie le fil des épées qui brettent le fer.
Chef-d'uvre de la littérature française, Le Cid de Corneille vit le jour le 7 janvier 1637 non loin de la rue Vieille du Temple au théâtre du Marais. A quelques siècles de distance, le théâtre Michel invite le public à découvrir la tragi-comédie de l'auteur éponyme mise en scène par Jean-Philippe Daguerre. L'amour de Chimène pour Rodrigue s'écrit à l'encre de la passion, laquelle dérivera vers les terres hostiles de l'influence et du pouvoir exercés par les pères respectifs, Don Gomès et Don Diègue. La langue de Corneille révèle une poésie en alexandrins rythmés pour insuffler une histoire à rebondissements, une intrigue qui glisse avec fluidité dans les revers de situations, une quête de l'amour qui passe par la reconquête des cœurs, une vengeance qui se traduit en allégeance. De place, les sentiments disposent et rivalisent pour céder la raison en abandon. Le désir d'aimer se décline dans une version qui a la beauté de la sincérité et le sang-froid de la cruauté.
L'honneur, un sceau frappé de la maîtrise des sentiments qui résonne de bout à l'autre de la représentation.
Les décors de Franck Viscardi, la beauté des éléments en présence s'accorde avec la scénographie. Les costumes de Virginie Houdinière, l'expertise d'une grande professionnelle qui lie le raffinement à l'aisance dans le choix des couleurs et la qualité des tissus portés. La musique de Petr Ruzicka, deux notes s'en détachent 'liberté' et 'expression'. Le duo de musiciens restituent avec force et simplicité cette musique écrite pour durer. Les combats de Christophe Mie, le vocabulaire de l'escrime déployé de la plus noble des manières dans le geste et le croisée des fers.
Les comédiens. Manon Gilbert en Chimène, sensuelle et révoltée, amoureuse et résignée. Une interprétation menée avec une énergie renouvelée à chaque revirement de situation. Manon Gilbert, une interprétation impliquée et appliquée, la signature d'une artiste exceptionnelle. Kamel Isker en Rodrigue, un jeu intense porté par l'abnégation omniprésente et l'intérêt manifesté à restituer son personnage au plus prés du tragique de situation. Kamel Isker, un nom, du talent, un excellent comédien. L'infante, Charlotte Matzneff, intrigante et rayonnante, grave et mesurée. Comédienne toujours aussi dévouée dans les différents registres interprétés. Un clin d'il enjoué à Sophie Raynaud dans le personnage d'Elvire interprété avec une simplicité heureuse et généreuse, fraicheur et bonheur. Stéphane Dauch, Don Gomès, et Yves Roux, Don Diègue, deux comédiens qui affichent une classe unanime, des tempéraments puissants et une exigence de tous les instants dans le jeu. Un mot, exceptionnels. Johann Dionnet, Maïlis Jeunesse ou Mona Thanaël, Didier Lafaye, Antonio Matias, Christophe Mie, Sophie Raynaud, Yves Roux, Petr Ruzicka et Antonio Matias, autant d'artistes que de talents présentés dans Le Cid.
La mise en scène de Jean-Philippe Daguerre, une nouvelle édition vivante de Le Cid qui s'ouvre sur une scène, la scène du théâtre Michel. Un chef-d'œuvre de la littérature classique servi avec la maestria d'un homme de théâtre, Jean-Philippe Daguerre.
Des pièces restituées dans le respect de l'écriture de Molière, de Corneille et d'Edmond Rostand. Des mises en scène qui introduisent le savoir-art et l'exigence d'un homme pour qui le mot 'théâtre' se renouvelle à chaque création, Jean-Philippe Daguerre. A n'en point douter que ses prochains spectacles en préparation réserveront de belles surprises.
Le théâtre de la Compagnie Le Grenier de Babouchka, un théâtre conçu pour la famille. Les enfants découvrent des auteurs illustres, les parents se rappellent des textes étudiés au collège et au lycée, les grands-parents dépoussièrent leur mémoire. Les yeux des 7 à 97 ans brillent de mille feux à chaque représentation et les applaudissements en témoignent.
Rideau sur Le Cid. Chimène est éprise de Rodrigue. Don Gomès, le père de Chimène, et Don Diègue, le père de Rodrigue, s'emportent dans une colère rouge sang. Rodrigue devient le bras vengeur de son père et tue en duel Don Gomès. Le mariage semble compromis, l'intrigue s'installe dans un sentiment d'hostilité, le fil de l'histoire tutoie le fil des épées qui brettent le fer.
Chef-d'uvre de la littérature française, Le Cid de Corneille vit le jour le 7 janvier 1637 non loin de la rue Vieille du Temple au théâtre du Marais. A quelques siècles de distance, le théâtre Michel invite le public à découvrir la tragi-comédie de l'auteur éponyme mise en scène par Jean-Philippe Daguerre. L'amour de Chimène pour Rodrigue s'écrit à l'encre de la passion, laquelle dérivera vers les terres hostiles de l'influence et du pouvoir exercés par les pères respectifs, Don Gomès et Don Diègue. La langue de Corneille révèle une poésie en alexandrins rythmés pour insuffler une histoire à rebondissements, une intrigue qui glisse avec fluidité dans les revers de situations, une quête de l'amour qui passe par la reconquête des cœurs, une vengeance qui se traduit en allégeance. De place, les sentiments disposent et rivalisent pour céder la raison en abandon. Le désir d'aimer se décline dans une version qui a la beauté de la sincérité et le sang-froid de la cruauté.
L'honneur, un sceau frappé de la maîtrise des sentiments qui résonne de bout à l'autre de la représentation.
Les décors de Franck Viscardi, la beauté des éléments en présence s'accorde avec la scénographie. Les costumes de Virginie Houdinière, l'expertise d'une grande professionnelle qui lie le raffinement à l'aisance dans le choix des couleurs et la qualité des tissus portés. La musique de Petr Ruzicka, deux notes s'en détachent 'liberté' et 'expression'. Le duo de musiciens restituent avec force et simplicité cette musique écrite pour durer. Les combats de Christophe Mie, le vocabulaire de l'escrime déployé de la plus noble des manières dans le geste et le croisée des fers.
Les comédiens. Manon Gilbert en Chimène, sensuelle et révoltée, amoureuse et résignée. Une interprétation menée avec une énergie renouvelée à chaque revirement de situation. Manon Gilbert, une interprétation impliquée et appliquée, la signature d'une artiste exceptionnelle. Kamel Isker en Rodrigue, un jeu intense porté par l'abnégation omniprésente et l'intérêt manifesté à restituer son personnage au plus prés du tragique de situation. Kamel Isker, un nom, du talent, un excellent comédien. L'infante, Charlotte Matzneff, intrigante et rayonnante, grave et mesurée. Comédienne toujours aussi dévouée dans les différents registres interprétés. Un clin d'il enjoué à Sophie Raynaud dans le personnage d'Elvire interprété avec une simplicité heureuse et généreuse, fraicheur et bonheur. Stéphane Dauch, Don Gomès, et Yves Roux, Don Diègue, deux comédiens qui affichent une classe unanime, des tempéraments puissants et une exigence de tous les instants dans le jeu. Un mot, exceptionnels. Johann Dionnet, Maïlis Jeunesse ou Mona Thanaël, Didier Lafaye, Antonio Matias, Christophe Mie, Sophie Raynaud, Yves Roux, Petr Ruzicka et Antonio Matias, autant d'artistes que de talents présentés dans Le Cid.
La mise en scène de Jean-Philippe Daguerre, une nouvelle édition vivante de Le Cid qui s'ouvre sur une scène, la scène du théâtre Michel. Un chef-d'œuvre de la littérature classique servi avec la maestria d'un homme de théâtre, Jean-Philippe Daguerre.
Philippe Delhumeau
24/02/2016
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
Chapelle des Italiens
de Nino Noskin
Mise en scène de Nikson Pitaqaj
Inclassable ! Ah si vous ne connaissez pas l'enfer, précipitez-vous pour voir cette pièce, et vous serez plonger dans l'enfer. Le cœur de l'enfer, un cœur qui bat pour détruire. L'enfer infernal, l'enfer pas biblique où l'on cuit dans une marmite, trop simple,...
L'avis de Geneviève Brissot
Chapelle des Italiens
![](../img-article/Yeyeve_L4JRRX.jpg)
AVIGNON
![](../img/t.gif)
![](../img/z.gif)
![](../img/t.gif)
![](../img/z.gif)
![](../img/t.gif)
Au coeur de l'enfer
de Nino NoskinMise en scène de Nikson Pitaqaj
Inclassable ! Ah si vous ne connaissez pas l'enfer, précipitez-vous pour voir cette pièce, et vous serez plonger dans l'enfer. Le cœur de l'enfer, un cœur qui bat pour détruire. L'enfer infernal, l'enfer pas biblique où l'on cuit dans une marmite, trop simple,...
L'avis de Geneviève Brissot
AVIGNON
BA Théâtre (anciennement Sham's bar théâtre)
Le mardi à Monoprix
de Emmanuel Darley
Mise en scène de Thierry De Pina
BA Théâtre (anciennement Sham's bar théâtre)
Le mardi à Monoprix
de Emmanuel Darley
Mise en scène de Thierry De Pina