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La Bête et la Belle
de Kader Belarbi
Mise en scène de Frédéric Chambert, Kader Belarbi
Avec Louis-Claude Daquin, Franz Josef Haydn, György Ligeti, Maurice Ravel
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Du 24/10/2013 au 29/10/2013
Les 24, 25, 26 et 29 octobre à 20h et le 27 octobre à 15h.
Théâtre du Capitole
1, place du Capitole
31000 TOULOUSE
05 61 63 13 13
Site Internet
Qui est la Bête ? Qui est la Belle ? Un nouveau grand ballet signé Kader Belarbi.
Les contes émerveillent grands et petits, par leur féerie enivrante, leur imaginaire débordant, l'inconscient collectif qui se construit autour d'eux et par leur message, cachant souvent des avertissements. Le conte divertit et instruit. Si vous connaissez le célèbre conte de Mme Leprince de Beaumont, La Belle et la Bête, sachez que vous ne venez pas voir ici une illustration de son livre !Les contes existent depuis la nuit des temps et ne cessent d'être réécrits. Ici, c'est l'adaptation singulière d'un ballet sous la direction de Kader Belarbi qui vous est offert à voir. Une adaptation qui, par l'inversion du nom des protagonistes dans le titre La Bête et la Belle nous laisse entendre que c'est l'influence de la Bête sur la Belle que nous allons observer et non le contraire.La première partie est destinée à faire connaissance avec la Bête d'apparence sombre et mystérieuse, alors que dans la seconde partie, il est question de la Belle qui se révèle, qui se dévoile...La Bête incarnée par Takafumi Watanabe et la Belle jouée par Julie Loria, forment un duo d'exception. Ils sont légers, gracieux, ils disent bien plus de choses avec leurs corps et leurs visages qu'on ne pourrait avec les mots. L'expression corporelle, pleine de contradictions, donne de la force à leur rapport : humaine et animale, douce et violente, tendre et bestiale. Tout au long du ballet, la Belle se métamorphose. Du stade de petite fille amusée et curieuse dans sa chambre jouant avec ses doudous, elle passe à une jeune femme flirtant avec la naissance du désir. Pas à pas, elle devient sensuelle voire charnelle. La Bête l'initie, l'observe sans cesse attentivement et la pousse à écarter les considérations sociales pour n'écouter que son être et en finir avec "Pourquoi la Bête, es-tu la Bête ?". Les autres danseurs qui incarnent les gens ou les animaux, très nombreux, investissent tout l'espace, avec des mouvements et des déplacement précis et délicats. Ils nous emmènent dans des univers farfelus... où une dure réalité se cache...Kader Belarbi a choisi Maurice Ravel, Louis-Claude Daquin, György Ligeti pour le ballet. Les musiques, variées, donnent le ton aux différentes scènes. Mais parfois trop illustratives, elles en deviennent lassantes. D'autant que certains tableaux laissent une sensation de longueur.Les costumes de Valérie Berman sont somptueux ! Poético-fantastiques, ils laissent transparaître des femmes et des hommes mi-humains, mi-animaux, en somme des créatures hybrides, délirantes voire carrément démentes. Les couleurs sont flamboyantes, c'est une véritable invitation au voyage. Un voyage féerique. Les immenses toiles peintes en fond de scène permettent de situer l'action : elles sont belles, oui, mais ne donnent pas, pour autant, une profondeur plus intense au ballet. Un élément indispensable, toutefois, au décor : l'armoire d'où sort la Belle pendant le prologue, est exploitée inlassablement. Elle raconte des histoires, prend vie même : elle devient presque un personnage, à la fois fascinant et attachant !Ce spectacle est comme un voyage qui nous ouvre au monde. Il démonte la bienséance de l'image sociale sur laquelle nous avons trop tendance à nous attarder. Nous suivons l'évolution de la Belle grâce à la Bête. Quant au final, tout sauf ordinaire, il prolonge la réflexion et nous nourrit... Une pluie d'applaudissements s'abat sur le plateau pour remercier ces danseurs de talent et leur directeur, avec une pensée particulière pour Valérie Berman, qui nous a quittés en août dernier, représentée par une de ses toiles et à qui le spectacle est dédié. Bravo pour son travail remarquable (décors et costumes) et merci au Ballet du Capitole pour la redécouverte de ce conte, devenu un mythe.
Aurore Lavidalie
26/10/2013
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
L'Optimist
de Grégoire Aubert
Mise en scène de Dominique Fataccioli
deux couples, qui on le suppose vont bien, sont dans la norme, auront maison, chien, enfants, voiture. et puis il y a l'invitation, et là tout est chamboulé. Plus rien n'est acquis. L'amour ? quel amour ? un dîner et tout s'écroule. La vie est ainsi, rien n'est sûre,...
L'avis de Geneviève Brissot
L'Optimist
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Pierre de Lune
la méthode Sherlock
de Paul Spera,andrea Redavid
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