Vincent ou l’âme bleue
de Anne-Marie Cellier
Mise en scène de Anne-Marie Cellier
Avec François Kopnia, Véronika Makaroff, Lionel Astier, Josée Drevon
Seule la toile le retient à la vie, le rappelle aux rêves et aux désirs d’un enfant libre et innocent qu’il n’aura jamais finalement été.
Vincent Van Gogh tend désespérément ses mains et fait comprendre qu’au bout du noir de sa détresse seules lui répondent les couleurs auxquelles il s’est entièrement consacré.
«La toile vierge m’appelle à l’amour» dit-il. Un amour que cet homme aura cherché toute sa vie à travers une absence qui le hante, celle de sa place, celle de la reconnaissance de son originalité par sa mère. Dans le vide de cette absence, la mémoire d’un frère mort, un premier Vincent qui aura hanté le peintre toute sa vie. Seul compagnon, seule bouée de secours, son frère Théo avec lequel il peut partager ses rêves
La couleur, belle et multiple, comme un soleil, est une réponse à la vie, alors qu’il a intériorisé la mort.Des images évidentes pour un Vincent né pour vivre. Mais, à quelle vie peut-il prétendre ? La torture psychique n’est jamais loin.Sur scène, une femme accompagne Vincent partout : elle incarne à la fois la mère, l’amour échoué et la toile vivante.
Le talent de conviction des deux acteurs complète admirablement bien le texte riche et captivant d’Anne-Marie Cellier.
Sur la trace des bouleversements d’une vie, la pièce permet de capter les origines du désir d’un homme en même temps que le génie d’un artiste.Un éclairage précieux sur un artiste décidément à découvrir sous bien des points de vues.
Vincent Van Gogh tend désespérément ses mains et fait comprendre qu’au bout du noir de sa détresse seules lui répondent les couleurs auxquelles il s’est entièrement consacré.
«La toile vierge m’appelle à l’amour» dit-il. Un amour que cet homme aura cherché toute sa vie à travers une absence qui le hante, celle de sa place, celle de la reconnaissance de son originalité par sa mère. Dans le vide de cette absence, la mémoire d’un frère mort, un premier Vincent qui aura hanté le peintre toute sa vie. Seul compagnon, seule bouée de secours, son frère Théo avec lequel il peut partager ses rêves
La couleur, belle et multiple, comme un soleil, est une réponse à la vie, alors qu’il a intériorisé la mort.Des images évidentes pour un Vincent né pour vivre. Mais, à quelle vie peut-il prétendre ? La torture psychique n’est jamais loin.Sur scène, une femme accompagne Vincent partout : elle incarne à la fois la mère, l’amour échoué et la toile vivante.
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Sur la trace des bouleversements d’une vie, la pièce permet de capter les origines du désir d’un homme en même temps que le génie d’un artiste.Un éclairage précieux sur un artiste décidément à découvrir sous bien des points de vues.
Cyrille Hrouda
27/07/2003
AVIGNON
Atelier 44
Mise en scène de Lionel Damei
Un jeune homme prend le micro et s'amuse. Lui entre, puissant, éclatant. Il prend le micro et nous voici embarqués dans la ronde des caddys pour la première chanson. Sa voix nous emmène sur ses routes qu'il nous décrit, et nous sommes embarqués dans les aigus, les graves de la...
L'avis de Geneviève Brissot
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Dansong
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Pierre de Lune
la méthode Sherlock
de Paul Spera,andrea Redavid
Mise en scène de Andrea Redavid,paul Spera
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