Sur le fil
de Jean Cocteau
Mise en scène de Georges Ghika
Avec Johanna Bouvarel, Véronique Garin, Sébastien Mériau, Roman Girelli (en alternance)
On a tout dit, tout écrit sur les textes de Jean Cocteau, La Voix humaine et Le Bel Indifférent. Ils parlent d'amour, bien sûr, mais de cet amour qui à force de solitudes radicales, finit par devenir meurtrier, voleur, et pour tout dire criminel. Les femmes en pâtissent, si désarmées face à l'énigme du masculin, qu'elle en sont réduites à l'état d'esclave languissante ou de putain, quand leur fibre maternelle ne leur souffle pas un élan de vaine tendresse.Au théâtre Darius-Milhaud, deux comédiennes, Johanna Bouvarel et Véronique Garin, souhaitaient ressusciter Cocteau. Avec le metteur en scène Georges Ghika, elles ont opté pour une savante réunion des deux textes, un florilège d'intrigues. Cela donne un alliage étonnant, qui donne toute sa mesure à la poésie de Cocteau, exaltée et envoûtante. L'impossible de l'amour, son caractère toujours insaisissable qui en fait un supplice chinois, est ici restitué. Avec la participation de Sébastien Mériau dans le rôle d'un Emile impassible, dont les silences rythment le spectacle.
Joseph Agostini
07/10/2011
AVIGNON
Théâtre de l'Oulle
Mise en scène de Hakim Djaziri
Ahlam est retrouvée morte dans sa baignoire, après avoir été torturée par son mari le 17 avril 2010. Sa sur entreprend une enquête auprès des instances qui restent muettes. Elle va bousculer tout ce monde pour enfin avoir raison sur la justice, et faire condamner l'état pour non...
L'avis de Geneviève Brissot
Théâtre de l'Oulle
AVIGNON
Elle ne m'a rien dit
de Hakim DjaziriMise en scène de Hakim Djaziri
Ahlam est retrouvée morte dans sa baignoire, après avoir été torturée par son mari le 17 avril 2010. Sa sur entreprend une enquête auprès des instances qui restent muettes. Elle va bousculer tout ce monde pour enfin avoir raison sur la justice, et faire condamner l'état pour non...
L'avis de Geneviève Brissot