Le Choc d'Icare
de Muriel Montosse
Mise en scène de Fabrice Lotou
Avec Muriel Montossey, Thierry Gibon
Elle est critique au Figaro, il est auteur de théâtre. Une nuit les rapproche... Mais pour Ariane, le personnage féminin, cela n'est qu'une histoire d'un soir, un plaisir partagé entre une femme de cinquante ans et Romain, un homme plus jeune. Ce dernier, lui, ne l'entend pas de cette oreille. Nous sommes le jour de la générale de sa pièce et Ariane a toutes les cartes en mains pour lui faire connaître la gloire ou la débâcle... A moins qu'entre eux, des liens plus profonds existent, à l'insu même d'Ariane, séquestrée, prise au piège d'un passé qui soudain resurgit.Le Choc d'Icare, teinté d'intrigue noire et d'humour ravageur, est un huis clos qui tiendrait en haleine le plus sceptique. Muriel Montossey, connue pour ses frasques télévisuelles dans les années 80, à l'époque où elle incarnait la coquine suave et pétulante de La Classe, revient ici de manière percutante et inattendue. Son partenaire, Thierry Gibon, excelle lui aussi dans l'art du suspense, avec un jeu à la fois sombre et jubilatoire, sur une mise en scène subtile de Fabrice Lotou.Le script, écrit par Muriel Montossey elle-même, questionne et surprend. Il faut dire ce qu'il contient de douleurs, de drames mais aussi d'envie de vivre, de dépasser les conventions sociales. Un moment de grande intensité.
Joseph Agostini
24/07/2011
AVIGNON
L'ORIFLAMME
Mise en scène de Patrick Zard'
En décembre 1989, l'une des plus effroyables et dernière dictature communiste totalitaire à l'Est de l'Europe, s'écroule. Éclate alors le scandale : la découverte des orphelinats roumains. Les témoignages, à la limite du supportables, rapportent l'horreur...
L'avis de Geneviève Brissot
L'ORIFLAMME
AVIGNON
Les enfants du diable
de Clemence BaronMise en scène de Patrick Zard'
En décembre 1989, l'une des plus effroyables et dernière dictature communiste totalitaire à l'Est de l'Europe, s'écroule. Éclate alors le scandale : la découverte des orphelinats roumains. Les témoignages, à la limite du supportables, rapportent l'horreur...
L'avis de Geneviève Brissot