Agatha
de Pierre Tabard
Mise en scène de Pierre Tabard
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Jusqu'au 28/10/2001
Kiron Espace
10, rue de la Vacquerie
75011 PARIS
Métro Voltaire
01 44 64 11 50
Agatha évoque l'amour impossible d'un frère et d'une sur qui vont se séparer pour toujours. Avant, ils revivent les heures magiques de leur enfance
Le frère et la sur sont comme un monstre à deux têtes, attachés par la taille à des souvenirs communs, inextinguibles. La mer les réunit à jamais, mais la mer roule et le temps passe. La séparation est inévitable. Elle aime ailleurs, elle quitte l'enfance. Le spectateur assiste au drame de la rupture, de la douleur, la vraie.Quel spectacle ! La révolte, et puis la musique, et puis les larmes, les vraies. La blessure suinte. Alors, bien sûr, il faut aimer Duras et sa névrose de la minutie accordée à chaque seconde, chaque détail de l'élan vers un ailleurs, au beau milieu d'une souffrance infinie. Il faut parvenir à l'état zéro de la conscience spectatrice pour se laisser porter par les identités confondues des deux personnages. Il faut supporter la douleur mortifère du départ et de l'inconnu. Difficile de ne pas lâcher prise, d'autant plus que l'interprétation laisse l'énergie au vestiaire et tente la sobriété extrême.Créée par Pierre Tabard en 1983, Agatha est réservée aux amoureux de l'écriture solaire de Marguerite Duras.
Joseph Agostini
29/10/2002

PARIS
Théâtre La Pépinière
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou
Théâtre La Pépinière
PARIS





MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion MezadorianMise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou

