Spécimens humains avec monstres
![](../img/bp-gratuit.gif)
de Alice Zeniter
Mise en scène de Urszula Mikos
Avec Nathan Gabily, Philippe Gaulé, Catherine Gendre, Michel Gravero, Michel Quidu, Pearl Manifold, Yves-Robert Viala, Olivier Werner
-
-
Du 23/03/2011 au 14/04/2011
Du lundi au samedi à 20h, dimanche à 16h (relâches les 30 mars, 1er, 7 avril).
La Fabrique MC11
11 rue Bara Montreuil
93100 MONTREUIL
Métro Robespierre
01 74 21 74 22
Site Internet
Une première pièce d’Alice Zeniter, jeune auteure et romancière de 24 ans présentée dans un nouveau lieu à Montreuil, la Fabrique mc11, dédié à la création contemporaine.
Une guerre où les amis d’hier deviennent les meilleurs ennemis. Une guerre fratricide... répétition de cette histoire de l’humanité : "on se ressemble forcément quand on veut si fort la même chose". Une guerre "propre" comme celle que l’on voit à la télé ou que l’on lit dans les journaux. Une guerre qui, si elle n’est pas validée par l’image, n’existe pas.Alice Zeniter est un écrivain précoce. Elle publie son premier roman à 16 ans (Deux moins un égal zéro, aux éditions du Petit Véhicule, 2003), puis le deuxième à 23 ans (Jusque dans nos bras, chez Albin Michel, 2010). Pour ce roman sur le thème de l’immigration et du mélange des cultures, écrit lors de son séjour en Hongrie, elle est primée par la Cité nationale de l’Histoire de l’immigration.Née en 1986 en Normandie, cette Normalienne est également une passionnée de théâtre. Elle prépare une thèse sur Martin Crimp, part à Budapest en 2008 où elle enseigne le français et l’histoire du théâtre à l’Eötvös Collegium, participe comme performeuse et plasticienne aux workshops du Krétakör sous la direction d’Árpád Schilling. Elle profite de ce séjour pour repenser le rapport à la langue, d’établir un nouveau rapport entre la poésie et l’argot contemporain en posant que tous deux naissent finalement d’une même jouissance de la langue. Cette première pièce a été sélectionnée par la commission nationale d’aide à la création de textes dramatiques du Centre National du Théâtre.Après avoir dirigé avec Olivier Cohen durant 14 ans la scène de création parisienne Le Proscenium, Urszula Mikos s’installe à Montreuil en 2009, où elle ouvre un nouvel espace de recherche et d’expérimentation, la Fabrique mc11. Là, elle poursuit sa politique de découverte de textes d’auteurs contemporains. Arrivée en France en tant que réfugiée politique en 1986, elle a déjà proposé au public une vingtaine de spectacles, visant tous à la découverte d’auteurs d’aujourd’hui, Trio de Boguslaw Schaeffer (dans sa traduction) couronné par le grand prix du Festival Charles Dullin 2002, Antigone à New York de Juliusz Glowacki, meilleure création des petites scènes en 1997, Grand Prix Etudiants et théâtre... Sa passion pour les parcours théâtraux originaux la pousse à des rencontres essentielles, avec Tadeusz Kantor, Jerzy
Grotowski, Matthias Langhoff, Robert Wilson, Peter Stein, Piotr Fomienko... Elle crée enfin sa propre école : L’Acteur instrumental.
Grotowski, Matthias Langhoff, Robert Wilson, Peter Stein, Piotr Fomienko... Elle crée enfin sa propre école : L’Acteur instrumental.
27/03/2011
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
Théâtre de l'Etincelle
de François Brett
Mise en scène de Geneviève Brett
Génial ! Un dramaturge écrit une pièce de théâtre, mais il est en mal d'inspiration. Sa compagne n'est pas super adhérente à sa nouvelle dramaturgie. Survient un personnage, non invité, qui bouscule la routine de ce couple. Le Diable, de son prénom Méphisto, veut emporter...
L'avis de Geneviève Brissot
Théâtre de l'Etincelle
![](../img-article/Yeyeve_VQE2F8.jpg)
AVIGNON
![](../img/t.gif)
![](../img/z.gif)
![](../img/t.gif)
![](../img/z.gif)
![](../img/t.gif)
Mephisto valse
de François BrettMise en scène de Geneviève Brett
Génial ! Un dramaturge écrit une pièce de théâtre, mais il est en mal d'inspiration. Sa compagne n'est pas super adhérente à sa nouvelle dramaturgie. Survient un personnage, non invité, qui bouscule la routine de ce couple. Le Diable, de son prénom Méphisto, veut emporter...
L'avis de Geneviève Brissot