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La Jeune Fille et la Mort
de Ariel Dorfman
Mise en scène de Yvon Victor, Grégory Felzines
Avec Philippe Coste, Jean-Yves Pagès, Sarah Roussel
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Du 15/10/2010 au 23/10/2010
Les 15, 16, 22, 23 à 21h et les 19, 20, 21 à 19h30.
Théâtre du Pont Neuf
8 place Arzac
31300 TOULOUSE
Métro Saint Cyprien - Parking Saint Cyprien, place Arzac, Cours Dillon
05 62 21 51 78
Site Internet
Une femme à genou. Elle rêve. Ou plutôt elle cauchemarde. La tension monte et puis la femme s'effondre. La tension reste. Une tension sentimentale et dramaturgique presque à son apogée dès le début du spectacle.
Paulina, cette femme aux allures fragiles, torturée et abimée se réveille. Elle attendait son mari. Trop sans doute au point de s'endormir. Il rentre. C'est le célèbre avocat Gérardo Escobar. Une énième dispute conjugale débute. Un couple aux allures fragiles mais pourtant très soudé par son passé...La dictature récente de ce pays d'Amérique du Sud est encore très présente dans leurs esprits... et pour cause. Un voisin rend visite à Gérardo Escobar. Paulina croit reconnaitre en ce voisin son ancien bourreau. Elle est rongée par son passé. Elle en devient folle.La Jeune Fille et la mort a été adaptée au cinéma par Polanski. La subtile mise en scène d'Yvon Victor le rappelle. Elle est cinématographique et épurée. C'est comme si on assistait à un film. Même la luminosité le rappelle. Une lumière veillotte et sombre qui accentue le mystère de l'intrigue.Aucun élément ne vient perturber l'il attentif du spectateur qui se prend de compassion pour le destin tragique de cette femme.Le jeu des comédiens repose sur la tension, tout comme la scénographie. Les murs de la maison sont suggérés par des chaines. Paulina vit encore son quotidien enchainée, attachée à son passé. Elle rêve de retrouver les coupables et d'en faire leurs jugements.C'est un huis clos proche des enfers qui se déroule dans l'enfermement sentimental et moral de Paulina. La mise en scène, le décor et les lumières sont à l'image du personnage de Paulina. C'est coquet et vétuste, c'est plein d'espoir dans trop de désespoir.Un coup de révolver pourrait partir à tout moment. Le spectateur s'accroche à son siège, il est sans cesse tenu en haleine tellement il est absorbé par le suspense et désireux de connaître la vérité.Les comédiens sont justes dans leur jeu. On note la remarquable interprétation de Sarah Roussel qui nous émeut pendant tout le spectacle. Le public vibre pour elle tellement elle nous touche et nous fait frissonner.Tout est travaillé avec une belle perfection et le public sort comblé, touché et perturbé par cette percutante mise en scène.
Olivier Maraval
15/10/2010
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AVIGNON
L'Optimist
de Sandra Fabbri
Mise en scène de Bruno Banon
Que veux dire être normal ? Le Larousse donne cette définition : Qui est conforme à une moyenne considérée comme une norme, qui n'a rien d'exceptionnel. Lily n'est pas dans la norme...........Sa mère est folle, et son père est complètement déconnecté de notre monde. ...
L'avis de Geneviève Brissot
L'Optimist
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AVIGNON
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Rallumer les Lucioles
de Sandra FabbriMise en scène de Bruno Banon
Que veux dire être normal ? Le Larousse donne cette définition : Qui est conforme à une moyenne considérée comme une norme, qui n'a rien d'exceptionnel. Lily n'est pas dans la norme...........Sa mère est folle, et son père est complètement déconnecté de notre monde. ...
L'avis de Geneviève Brissot
AVIGNON
Bourse du travail CGT
ON N'A PAS PRIS LE TEMPS DE SE DIRE AU REVOIR
de Rachid Bouali
Mise en scène de Rachid Bouali
Bourse du travail CGT
ON N'A PAS PRIS LE TEMPS DE SE DIRE AU REVOIR
de Rachid Bouali
Mise en scène de Rachid Bouali