Septembre blanc
de Neil Labute
Mise en scène de Claude Baqué
Avec Simona Maicanescu, Xavier Gallais
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Du 09/04/2003 au 10/05/2003
Mardi à 19 heures, du mercredi au samedi à 20 heures,
Dimanche à 16 heures.
Athénée Théâtre Louis-Jouvet
Square de l’Opéra Louis-Jouvet
7, rue Boudreau
75009 PARIS
Métro Havre-Caumartin
01 53 57 37 74
Site Internet
Le téléphone de Ben sonne mais il ne répond pas. Et s’il en profitait pour disparaître avec Abby ?
Nous sommes au lendemain du 11 septembre 2001, à New York. Ben (Xavier Gallais) est assis dans son fauteuil. Son téléphone sonne à plusieurs reprises mais il reste imperturbable. Abby (Simona Maicanescu) arrive de l'extérieur, couverte de poussière. Elle le voit et comprend aussitôt ce qui se trame dans la tête de cet homme... Car Ben aurait dû se trouver à son bureau, situé dans l'une des tours du World Trade Center. Seulement, au dernier moment, il s'est ravisé pour passer quelques instants avec Abby, sa collègue de travail de douze ans son aînée et sa maîtresse…Un cruel dilemme s'empare de cet homme qui n'a cessé de tricher toute sa vie avec lui-même : va-t-il réapparaître et donner signes de vie à sa femme et ses deux filles, ou bien va-t-il profiter de l'extraordinaire occasion qui lui est donnée ("le jackpot", comme il le dit si bien) afin de pouvoir refaire sa vie avec Abby ?Après le succès de Bash, cette dernière pièce de Neil Labute écrite en décembre 2002, nous dévoile une nouvelle fois des personnages hors du commun, sans aucune moralité et prêts à commettre les actes les plus extrêmes pour parvenir à leur fin. Ici, la traditionnelle image du héros américain qui meurt pour la bonne cause laisse la place à celle d'un être lâche et vivant. Comme si l'auteur s'amusait à nous bousculer en reniant les clichés. Le décor reste épuré à l'extrême : deux fauteuils avec, en arrière plan, l'épais nuage de poussière qui recouvre New York.Une pièce en somme qui ne laisse personne indifférent. L'auteur présente une image brutale de la société américaine, comme en témoignent non seulement la trame de l'histoire (le plan machiavélique imaginé par Ben aurait très bien pu être mis en œuvre), mais également les dialogues, souvent crus.
Olivier Billaud
21/05/2003
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
L'Optimist
de Grégoire Aubert
Mise en scène de Dominique Fataccioli
deux couples, qui on le suppose vont bien, sont dans la norme, auront maison, chien, enfants, voiture. et puis il y a l'invitation, et là tout est chamboulé. Plus rien n'est acquis. L'amour ? quel amour ? un dîner et tout s'écroule. La vie est ainsi, rien n'est sûre,...
L'avis de Geneviève Brissot
L'Optimist
![](../img-article/Yeyeve_DTRPEZ.jpg)
AVIGNON
![](../img/t.gif)
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Stabilité temporaire
de Grégoire AubertMise en scène de Dominique Fataccioli
deux couples, qui on le suppose vont bien, sont dans la norme, auront maison, chien, enfants, voiture. et puis il y a l'invitation, et là tout est chamboulé. Plus rien n'est acquis. L'amour ? quel amour ? un dîner et tout s'écroule. La vie est ainsi, rien n'est sûre,...
L'avis de Geneviève Brissot