Le denier jour d’un condamné
de Victor Hugo (lecture-spectacle adaptée)
Mise en scène de François Duval
Avec François Duval
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Du 11/12/2002 au 22/02/2003
Du mardi au samedi à 20 h.
Lucernaire
53 Rue Notre-Dame des Champs
75006 PARIS
Métro Vavin, Notre-Dame des Champs, Montparnasse Bienvenüe
01 45 44 57 34
Ce texte de Victor Hugo dénonce la peine de mort, le supplice du condamné
Dans ce plaidoyer pour l’abolition de la peine de mort, nous découvrons les six dernières semaines de la vie d’un homme dont nous ne connaissons rien, sinon son agonie qu’il livre sur papier. Hugo laisse ici parler celui que la société ne veut pas laisser vivre. Il s’agit de la retranscription d’un combat pour la vie que mène un homme non épargné par la grâce. Le but de ses écrits n’est pas de conter mais de comprendre quelle est cette angoisse dont il est animé, et surtout de convaincre la société qu’elle ne peut pas commettre un tel crime.
En dépit de son âge, Le dernier jour d’un condamné n’est toujours pas ridé : son thème épouse notre temps. Pour preuve, ces Etats barbares où juger de la vie ou de la mort d’un semblable est conforme à la loi, ces Etats où juger de la vie ou de la mort d’un semblable est un acte moral.Plus lecture que spectacle, cette interprétation manque de vivacité, d’entrain et de pugnacité. Dans un décor lugubre et une atmosphère malsaine, François Duval tente de rendre compte des derniers instants d’un homme qui se prépare à mourir. La mise en scène est assez originale : un personnage porte-parole revient sur le lieu de l’écriture et découvre sur un sol jonché de papiers quelle autopsie intellectuelle fut opérée par le condamné. Pourtant, même si l’idée est originale, le résultat n’est pas probant.Ce tragique destin d’un condamné ne mérite pas une telle interprétation. Préférez donc l’écrit au joué.
En dépit de son âge, Le dernier jour d’un condamné n’est toujours pas ridé : son thème épouse notre temps. Pour preuve, ces Etats barbares où juger de la vie ou de la mort d’un semblable est conforme à la loi, ces Etats où juger de la vie ou de la mort d’un semblable est un acte moral.Plus lecture que spectacle, cette interprétation manque de vivacité, d’entrain et de pugnacité. Dans un décor lugubre et une atmosphère malsaine, François Duval tente de rendre compte des derniers instants d’un homme qui se prépare à mourir. La mise en scène est assez originale : un personnage porte-parole revient sur le lieu de l’écriture et découvre sur un sol jonché de papiers quelle autopsie intellectuelle fut opérée par le condamné. Pourtant, même si l’idée est originale, le résultat n’est pas probant.Ce tragique destin d’un condamné ne mérite pas une telle interprétation. Préférez donc l’écrit au joué.
Zeïna Peerboccus
13/12/2002
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