Les Inassouvis
de Elizabeth Czerczuk
Mise en scène de Elizabeth Czerczuk
Avec Léa Bridarolli, Elizabeth Czerczuk, Deáky Szandra, Aurélie Gascuel, Valentina Gonzales Salgado, Roland Girault, Yvan Gradis, Yann Lemo, Barbara Orzelowska, Chantal Pavese, Sarah Pierret, Zbigniew Rola
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Du 19/01/2019 au 17/02/2019
Samedi à 19h, dimanche à 16h. Relâches 2 et 3 février.
Théâtre Laboratoire Elizabeth Czerczuk
20 rue Marsoulan
75012 PARIS
01 43 40 79 53
Site Internet
À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain.
À travers l'itinéraire d'êtres déchirés par leur propre destin, Elizabeth Czerczuk pose un regard sans concessions sur la superficialité du monde et l'aliénation de l'humain. Une épopée en trois actes, surréaliste, tourbillonnante, rythmée par une musique originale, inspirée de l'avant-gardisme polonais des années 1960-1970.
Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witkiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.
Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.
Comme dans les trois volets de la trilogie initiale, la folie est au cœur de cette nouvelle création. On y retrouve le personnage éponyme de Matka, une mère sortie d’une pièce de Stanislaw Ignacy Witkiewicz (1885-1939), auteur méconnu en France mais considéré dans son pays comme l’un des pionniers de la modernité artistique. Intellectuel détraqué, fils de cette femme-monstre, Léon et son rire sardonique sont eux aussi de la partie. De même que de nombreuses autres créatures qui officient dans la cérémonie macabre de Requiem pour les artistes. En compagnie de celles qui, dans Dementia Praecox 2.0, démultiplient la névrose du Fou et la Nonne de St. I. Witkiewicz. C’est toutefois une autre histoire qu’elles racontent ensemble. Davantage centrée sur la figure maternelle. Plus proche des racines de la folie.
Dans Les Inassouvis, Elizabeth Czerczuk livre ainsi certaines clés de lecture de son univers fait d’enfance et de mort. De guerre et d’une grande tendresse qui se dissimule derrière des gestes d’automates détraqués et des lumières étranges, des mots tranchants, une musique enivrante et sous des vêtements gothico-baroques. Mais chez Elizabeth Czerczuk, le dévoilement ne va pas sans de nouveaux mystères. La succession de tableaux qui composent le spectacle en regorge. Fruit d’une année de travail intense, Les Inassouvis ouvre en effet au T.E.C. un nouveau chapitre artistique dans la continuité du précédent. Très féminin, plein de folie et de solitude. Mais aussi d’amour.
11/01/2019
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
Atelier 44
de Lionel Damei
Mise en scène de Lionel Damei
Un jeune homme prend le micro et s'amuse. Lui entre, puissant, éclatant. Il prend le micro et nous voici embarqués dans la ronde des caddys pour la première chanson. Sa voix nous emmène sur ses routes qu'il nous décrit, et nous sommes embarqués dans les aigus, les graves de la...
L'avis de Geneviève Brissot
Atelier 44
![](../img-article/Yeyeve_GG8U3J.jpg)
AVIGNON
![](../img/t.gif)
![](../img/z.gif)
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![](../img/t.gif)
Dansong
de Lionel DameiMise en scène de Lionel Damei
Un jeune homme prend le micro et s'amuse. Lui entre, puissant, éclatant. Il prend le micro et nous voici embarqués dans la ronde des caddys pour la première chanson. Sa voix nous emmène sur ses routes qu'il nous décrit, et nous sommes embarqués dans les aigus, les graves de la...
L'avis de Geneviève Brissot