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Assoiffés
de Wajdi Mouawad
Mise en scène de Benoît Vermeulen
Avec Mélaine Catuogno, Vivien Fedele, Alexandre Streicher
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Du 07/07/2016 au 30/07/2016
13h20, relâche les 13, 20 et 27 juillet.
Alizé
15 rue du 58ème Rgt d'infanterie
84000 AVIGNON
Texte et interprétation emportent le spectateur. Et ne peut laisser indifférent.
Trois adolescents en quête de sens et de beauté dans notre société consumériste et aliénante tentent d’y répondre au travers de leurs mots et rêves. Ils ne comptent ni transiger ni concéder quoique ce soit pour passer dans ce monde adulte sans renier idéaux et désirs. Chacun, à sa manière, explore une voie.
Murdoch questionne et interroge sans interruption contemporains, actions, mots, slogans qui saturent l’espace public pour en tirer un substantifique sens. A peine perdue.
Boon, pour survivre en ce monde réel, s’amputera de son adolescence et de sa sensibilité artistique lors d’un enterrement de première classe. Norvège, enfin, née des rêves de Boon, qui se tait, se renferme, se recroqueville sur elle-même jusqu’à matérialiser en elle-même la laideur du monde avant de l’expulser pour retrouver une beauté intérieure pure. Murdoch et Norvège se rencontreront et fusionneront avant de disparaître.
Quinze ans passent. Boon, anthropologue judiciaire, va au cours d’une enquête être confronté à ces 3 personnages. Et devoir se confronter à ses rêves, idéaux et souvenirs d’adolescence. Une boîte en métal, à taille humaine, métaphore de notre boîte crânienne, rouille en réaction à l’agressivité du monde réel, mais préserve en elle-même ces personnages, ces rêves, ces idéaux qui jaillissent à tout moment ou au contraire attendent en toute sécurité leur heure avant de refaire surface.
Pièce centrale de la mise en scène, sous un jeu de lumière minimal mais ô combien précis, les comédiens sont percutants dans leur interprétation, hypnotiques dans leur diction d’un texte alternativement corrosif dans son humour, incandescent dans son besoin de compréhension d’un monde qui n’offre plus que du savoir prédigéré. Avec mention spéciale pour Alexandre Streicher qui nous subjugue dans son interprétation avec un accent québécois.
Texte et interprétation emportent le spectateur. Et ne peut laisser indifférent. A voir absolument.
Murdoch questionne et interroge sans interruption contemporains, actions, mots, slogans qui saturent l’espace public pour en tirer un substantifique sens. A peine perdue.
Boon, pour survivre en ce monde réel, s’amputera de son adolescence et de sa sensibilité artistique lors d’un enterrement de première classe. Norvège, enfin, née des rêves de Boon, qui se tait, se renferme, se recroqueville sur elle-même jusqu’à matérialiser en elle-même la laideur du monde avant de l’expulser pour retrouver une beauté intérieure pure. Murdoch et Norvège se rencontreront et fusionneront avant de disparaître.
Quinze ans passent. Boon, anthropologue judiciaire, va au cours d’une enquête être confronté à ces 3 personnages. Et devoir se confronter à ses rêves, idéaux et souvenirs d’adolescence. Une boîte en métal, à taille humaine, métaphore de notre boîte crânienne, rouille en réaction à l’agressivité du monde réel, mais préserve en elle-même ces personnages, ces rêves, ces idéaux qui jaillissent à tout moment ou au contraire attendent en toute sécurité leur heure avant de refaire surface.
Pièce centrale de la mise en scène, sous un jeu de lumière minimal mais ô combien précis, les comédiens sont percutants dans leur interprétation, hypnotiques dans leur diction d’un texte alternativement corrosif dans son humour, incandescent dans son besoin de compréhension d’un monde qui n’offre plus que du savoir prédigéré. Avec mention spéciale pour Alexandre Streicher qui nous subjugue dans son interprétation avec un accent québécois.
Texte et interprétation emportent le spectateur. Et ne peut laisser indifférent. A voir absolument.
Geneviève Brissot
15/07/2016
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
Pierre de Lune
de Dorothée Leveau
Mise en scène de Laurent Montel
Une histoire d'amour banale, comme il peut en exister tous les jours. Un homme remarque une jeune femme et en tombe amoureux. Elle Anna, tient un journal quotidien. Lui, Nicolas est fou amoureux C'est une histoire vraiment banale. Mais comme un train qui en cache un autre, et bien...
L'avis de Geneviève Brissot
Pierre de Lune
![](../img-article/Yeyeve_DQSDVQ.jpg)
AVIGNON
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Le carnet rouge
de Dorothée LeveauMise en scène de Laurent Montel
Une histoire d'amour banale, comme il peut en exister tous les jours. Un homme remarque une jeune femme et en tombe amoureux. Elle Anna, tient un journal quotidien. Lui, Nicolas est fou amoureux C'est une histoire vraiment banale. Mais comme un train qui en cache un autre, et bien...
L'avis de Geneviève Brissot