L'Eveil du printemps
de Frank Wedekind
Mise en scène de Léa Sananes
Avec Tania Markovic, Valentin Besson, Juliette Raynal, Diego Colin, Léa Sananes
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Du 13/02/2015 au 24/04/2015
Vendredi à 19h30.
Théâtre Pixel
18 rue Championnet
75018 PARIS
Métro Porte de Clignancourt (métro Simplon fermé)
01 42 54 00 92
Site Internet
L'histoire de L'Eveil du printemps est celle d'adolescents de 14 ans qui ont la rage de vivre et se heurtent violemment aux interdits moraux et sociaux de la fin du XIXe siècle.
L'histoire de L'Eveil du printemps est celle d'adolescents de 14 ans qui ont la rage de vivre et se heurtent violemment aux interdits moraux et sociaux de la fin du XIX ème siècle. Leur soif de liberté, leurs espoirs et leurs souffrances, portés hauts par la troupe du Chat Noir, sont les nôtres. Cette uvre, du sulfureux Frank Dedekind, interdite à sa sortie, est toujours d’une actualité brûlante.
La découverte. La pièce commence par le p̀me Sensation d’Arthur Rimbaud, dit par le metteur en scène alors que les comédiens découvrent l’espace. Ils sont comme aspirés par une époque qui n’est pas la leur et sont conduits, eux, jeunes adultes du XXI ème siècle, à explorer le monde des adolescents du XIX ème siècle. Le spectacle joue ainsi sur le conflit entre le jeu moderne des comédiens qui prend vie dans des costumes du XIX ème siècle qui permettent de garder la tension de l’arrière plan historique.Mise en crise. Le jeu des acteurs, qui interprètent à la fois les enfants et leurs parents, traduit la souffrance d’exister. Les personnages peuvent crier et interpeler violemment les
spectateurs, correspondant ainsi à l’image des enfants et des parents qui se trouvent en période de crise. L’utilisation d’autres arts comme la musique ou la danse participent aussi à l’éveil des sens.
La création de soi corrélat de la création artistique. C’est un nouveau monde, à l’image de l’adolescence, qui est créé par une scénographie qui annihile tout réalisme avec un décor unique déjouant l’utilisation ordinaire des objets. Les comédiens ne quittent jamais le plateau ; quand c’est à leur tour de jouer, ils s’imposent comme poussés par un désir de témoigner. Le metteur en scène joue lui aussi le rôle de personnages qui n’apparaissent qu’une seule fois. Assis dans le public, il intervient au moment où les enfants sont perdus, en leur proposant de vivre.
Moritz, alors qu’il se retrouve seul dans la forêt avec Melchior, s’interroge : "Quel étrange rôle on nous fait jouer, là !".
La découverte. La pièce commence par le p̀me Sensation d’Arthur Rimbaud, dit par le metteur en scène alors que les comédiens découvrent l’espace. Ils sont comme aspirés par une époque qui n’est pas la leur et sont conduits, eux, jeunes adultes du XXI ème siècle, à explorer le monde des adolescents du XIX ème siècle. Le spectacle joue ainsi sur le conflit entre le jeu moderne des comédiens qui prend vie dans des costumes du XIX ème siècle qui permettent de garder la tension de l’arrière plan historique.Mise en crise. Le jeu des acteurs, qui interprètent à la fois les enfants et leurs parents, traduit la souffrance d’exister. Les personnages peuvent crier et interpeler violemment les
spectateurs, correspondant ainsi à l’image des enfants et des parents qui se trouvent en période de crise. L’utilisation d’autres arts comme la musique ou la danse participent aussi à l’éveil des sens.
La création de soi corrélat de la création artistique. C’est un nouveau monde, à l’image de l’adolescence, qui est créé par une scénographie qui annihile tout réalisme avec un décor unique déjouant l’utilisation ordinaire des objets. Les comédiens ne quittent jamais le plateau ; quand c’est à leur tour de jouer, ils s’imposent comme poussés par un désir de témoigner. Le metteur en scène joue lui aussi le rôle de personnages qui n’apparaissent qu’une seule fois. Assis dans le public, il intervient au moment où les enfants sont perdus, en leur proposant de vivre.
Moritz, alors qu’il se retrouve seul dans la forêt avec Melchior, s’interroge : "Quel étrange rôle on nous fait jouer, là !".
03/03/2015
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
Pierre de Lune
de Dorothée Leveau
Mise en scène de Laurent Montel
Une histoire d'amour banale, comme il peut en exister tous les jours. Un homme remarque une jeune femme et en tombe amoureux. Elle Anna, tient un journal quotidien. Lui, Nicolas est fou amoureux C'est une histoire vraiment banale. Mais comme un train qui en cache un autre, et bien...
L'avis de Geneviève Brissot
Pierre de Lune
![](../img-article/Yeyeve_DQSDVQ.jpg)
AVIGNON
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Le carnet rouge
de Dorothée LeveauMise en scène de Laurent Montel
Une histoire d'amour banale, comme il peut en exister tous les jours. Un homme remarque une jeune femme et en tombe amoureux. Elle Anna, tient un journal quotidien. Lui, Nicolas est fou amoureux C'est une histoire vraiment banale. Mais comme un train qui en cache un autre, et bien...
L'avis de Geneviève Brissot