Appartements à louer
de Luce Leccia
Mise en scène de Caroline Marchetti
Avec Clémence Ansault, Marine Labadie, Aliénor Gaspéri (en alternance), Pinar Kul, Isabelle Priou, Jennifer Kerner, Julien Le Pocher
Appartements à louer, des cœurs à partager, des destins découpés à l'emporte-pièce.
Découverte d'une nouvelle auteure, Luce leccia, sur la scène du Guichet-Montparnasse avec la pièce Appartements à louer. Le texte, une mise en page agrémentée de personnages reliés par le fil conducteur de leur jeunesse accrochée à un porte-clé ouvrant la porte d'entrée d'appartements à louer et d'amour à donner. L'écriture, une scénographie épurée de mots simples, prompts et efficaces. Le style, un échafaudage urbain monté sur le macadam contemporain.Luce Leccia est de cette nouvelle génération d'auteurs qui pose l'empreinte des destins croisés de gens ordinaires. L'intelligence d'un genre littéraire voué à l'accessibilité d'un lectorat élargi.
Cette comédie d'aujourd'hui est une farce en trompe-l'il car à cur conquis, l'amour suit ses conquêtes.Appartements à louer, une histoire d'amour étagée sur trois paliers. La rencontre de Ludivine, jeune provinciale, avec Bertrand, directeur d'agence immobilière. Sur le contrat de location du studio, la clause "en peine d'amour" n'est pas précisée. Isabelle invite Lucie pour lui raconter sa séparation avec Julien afin de mieux le reconquérir. Florence, victime d'un accident de la route, apprend d'Aicha sa nouvelle grossesse. Elle accepte un rendez-vous avec l'homme qui l'a percutée.Le décor s'escamote en un tour de main et à la scène se peuple de nouveaux éléments pratiques et accordés aux locataires du moment à chaque nouvel emménagement. Une scène, trois appartements, trois tranches de vie distinctes. Les guillemets s'ouvrent sur des dialogues vifs et concis, le temps sculpte des histoires d'amour nourries de doute et d'espoir.La mise en scène de Caroline Marchetti et l'écriture de Luce Leccia s'assemblent dans une parfaite harmonie. La pièce s'apprécie dans son intégralité jusqu'au point final. Une partition contemporaine interprétée par de jeunes comédiens convaincants, très proches de leur personnage respectif. Clémence Ansault, Marine Labadie, Aliénor Gaspéri (en alternance), Pinar Kul, Isabelle Priou, Jennifer Kerner, Julien Le Pocher, des talents révélés par leur riche expérience théâtrale.Appartements à louer, une agréable pièce à découvrir sur la scène du Guichet-Montparnasse.
Cette comédie d'aujourd'hui est une farce en trompe-l'il car à cur conquis, l'amour suit ses conquêtes.Appartements à louer, une histoire d'amour étagée sur trois paliers. La rencontre de Ludivine, jeune provinciale, avec Bertrand, directeur d'agence immobilière. Sur le contrat de location du studio, la clause "en peine d'amour" n'est pas précisée. Isabelle invite Lucie pour lui raconter sa séparation avec Julien afin de mieux le reconquérir. Florence, victime d'un accident de la route, apprend d'Aicha sa nouvelle grossesse. Elle accepte un rendez-vous avec l'homme qui l'a percutée.Le décor s'escamote en un tour de main et à la scène se peuple de nouveaux éléments pratiques et accordés aux locataires du moment à chaque nouvel emménagement. Une scène, trois appartements, trois tranches de vie distinctes. Les guillemets s'ouvrent sur des dialogues vifs et concis, le temps sculpte des histoires d'amour nourries de doute et d'espoir.La mise en scène de Caroline Marchetti et l'écriture de Luce Leccia s'assemblent dans une parfaite harmonie. La pièce s'apprécie dans son intégralité jusqu'au point final. Une partition contemporaine interprétée par de jeunes comédiens convaincants, très proches de leur personnage respectif. Clémence Ansault, Marine Labadie, Aliénor Gaspéri (en alternance), Pinar Kul, Isabelle Priou, Jennifer Kerner, Julien Le Pocher, des talents révélés par leur riche expérience théâtrale.Appartements à louer, une agréable pièce à découvrir sur la scène du Guichet-Montparnasse.
Philippe Delhumeau
10/09/2013
AVIGNON
Bourse du travail CGT
Mise en scène de Rachid Bouali
Ce spectacle est dans la continuité des opus précédents autobiographiques (« Cité Babel », « Un jour, j'irai à Vancouver » et « Le jour où ma mère a rencontré John Wayne ») écrits par Rachid Bouali et joués partout en France et à l'étranger. Ici, c’est l’évocation...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou
Bourse du travail CGT
AVIGNON
ON N'A PAS PRIS LE TEMPS DE SE DIRE AU REVOIR
de Rachid BoualiMise en scène de Rachid Bouali
Ce spectacle est dans la continuité des opus précédents autobiographiques (« Cité Babel », « Un jour, j'irai à Vancouver » et « Le jour où ma mère a rencontré John Wayne ») écrits par Rachid Bouali et joués partout en France et à l'étranger. Ici, c’est l’évocation...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou