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Pascal Mary en concert
de Pascal Mary
Mise en scène de Compagnie Atypik Production Diffusion
Avec Pascal Mary
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Du 20/07/2013 au 31/07/2013
22h.
Pittchoun Théâtre
40 rue de la Masse
84000 AVIGNON
04 90 27 12 49
"Vivons d’un rien", chantons la vie
Pascal Mary chante la poésie du quotidien comme un oraison d’amour.
Le Festival Off d’Avignon recèle de ces trésors cachés qu’on voit s’illuminer dans de petits théâtres écrins.
Les chansons de Pascal Mary et son travail d’auteur compositeur interprète en sont. Après l’avoir croisé au hasard du capharnaüm d’Avignon en son festival, il demeure un arrière-goût d’une humanité rare qui donne envie d’aller l’entendre chanter. On entre alors à vingt deux heures dans un petit théâtre comme dans une cage attendant qu’elle nous livre les secrets de la nuit. D’un pas silencieux qu’accompagne une voix et une présence très reposante, insufflante de quiètude, Pascal Mary introduit ses chansons au piano de petites introductions comme des flashs où l’on entre en soi à travers lui un peu comme sur le divan d’un psychanalyste.Quel étrange voyage allons nous faire avec lui, respirant l’effort en un titre intitulé "plus qu’avant " ?
Regretterez-vous Noël en l’entendant nous brosser la dure magie d’une fête trop jolie pour être étoilée ?
Regarderez vous aussi pour vous la rupture amoureuse comme un fait ordinaire après l’avoir entendu chanter ?
Des mots, des musiques qui sont d’une philosophie incroyablement musico-thérapique font de cet artiste musicien autodidacte un grand monsieur qui mérite sa place dans l’actualité de la chanson Française afin qu’on puisse parler de lui au présent comme on parle au passé des Brel, Brassens, Barbara comme autant de monstres sacrés.Ses origines Normandes où la pluie donne à l’humour des gens de ces contrées pluvieuses une plume acide, nostalgique ou pessimiste pleine de lucidité, ne trahissent aucunement un chant torturé qui synthétise et essentialise les affres autant que les joies du temps qui passe.
Les chansons de Pascal Mary et son travail d’auteur compositeur interprète en sont. Après l’avoir croisé au hasard du capharnaüm d’Avignon en son festival, il demeure un arrière-goût d’une humanité rare qui donne envie d’aller l’entendre chanter. On entre alors à vingt deux heures dans un petit théâtre comme dans une cage attendant qu’elle nous livre les secrets de la nuit. D’un pas silencieux qu’accompagne une voix et une présence très reposante, insufflante de quiètude, Pascal Mary introduit ses chansons au piano de petites introductions comme des flashs où l’on entre en soi à travers lui un peu comme sur le divan d’un psychanalyste.Quel étrange voyage allons nous faire avec lui, respirant l’effort en un titre intitulé "plus qu’avant " ?
Regretterez-vous Noël en l’entendant nous brosser la dure magie d’une fête trop jolie pour être étoilée ?
Regarderez vous aussi pour vous la rupture amoureuse comme un fait ordinaire après l’avoir entendu chanter ?
Des mots, des musiques qui sont d’une philosophie incroyablement musico-thérapique font de cet artiste musicien autodidacte un grand monsieur qui mérite sa place dans l’actualité de la chanson Française afin qu’on puisse parler de lui au présent comme on parle au passé des Brel, Brassens, Barbara comme autant de monstres sacrés.Ses origines Normandes où la pluie donne à l’humour des gens de ces contrées pluvieuses une plume acide, nostalgique ou pessimiste pleine de lucidité, ne trahissent aucunement un chant torturé qui synthétise et essentialise les affres autant que les joies du temps qui passe.
Yves-Alexandre Julien
20/07/2013
Notez-le : Pascal Mary a également signé quelques chansons du spectacle "George Sand et moi" au Théâtre des Trois Soleils (voir notre chronique).
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
L'ORIFLAMME
de Clemence Baron
Mise en scène de Patrick Zard'
En décembre 1989, l'une des plus effroyables et dernière dictature communiste totalitaire à l'Est de l'Europe, s'écroule. Éclate alors le scandale : la découverte des orphelinats roumains. Les témoignages, à la limite du supportables, rapportent l'horreur...
L'avis de Geneviève Brissot
L'ORIFLAMME
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AVIGNON
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Les enfants du diable
de Clemence BaronMise en scène de Patrick Zard'
En décembre 1989, l'une des plus effroyables et dernière dictature communiste totalitaire à l'Est de l'Europe, s'écroule. Éclate alors le scandale : la découverte des orphelinats roumains. Les témoignages, à la limite du supportables, rapportent l'horreur...
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