Berlioz
de Serguei Korobkov
Mise en scène de Mikhaïl Skonorokhov
Avec E Kniazev (en alternance avec L Polichuk), V Lapeva, N Chulga, M Ianuchkevitch, A Kalachnitchnenko, N Glebov, V Plenkov ; A Agueev, R Berchauer, T Liannik, I Chichenina, X Jarkoua
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Jusqu'au 31/07/2003
Tous les jours à 14h15.
Le Forum
20, place de l'Horloge
84000 AVIGNON
04 90 85 02 32
Dans un décor bleu nuit, le compositeur Hector Berlioz se meurt. Devenu amnésique, il est entouré de personnes qui lui prodiguent les derniers soins avant la fin. Soudain, le moribond se ranime avec une énergie de jeune homme : il est persuadé que la femme à son chevet est sa première épouse et passe la nuit avec elle. Mais cette rémission ne dure pas et le grand Berlioz replonge dans le comas. Un nouveau sursaut le ramène parmi les vivants. Cette fois, il reconnaît Franz Liszt, puis au 3ème, c’est sa mère qu’il croit serrer dans ses bras…
L’auteur a imaginé une sorte de voyage dans les pensées du mourrant auquel il donne une dernière chance de réparer les erreurs qui ont douloureusement marqué sa vie, de rattraper ceux qui l’ont quitté, de gommer les mauvaises pensées et paroles… Pour l’aider, il lui adjoint trois complices qui sont ses gardes-malade. Plutôt que de le raisonner, ils se plient, non sans scrupule, à ses volontés. Peut-être sont-ils ses futurs biographes qui croisent leurs informations, analysent, s’interrogent sur les pans obscurs de la vie de Berlioz.
Une pièce étrange un peu onirique, très psychologique. Etrangement, la musique est totalement absente au début et peu à peu elle vient appuyer les paroles, ce qui intègre des respirations dans ce texte très fourni et joué de façon intimiste où les expressions du visage ont toutes une importance.
L’auteur a imaginé une sorte de voyage dans les pensées du mourrant auquel il donne une dernière chance de réparer les erreurs qui ont douloureusement marqué sa vie, de rattraper ceux qui l’ont quitté, de gommer les mauvaises pensées et paroles… Pour l’aider, il lui adjoint trois complices qui sont ses gardes-malade. Plutôt que de le raisonner, ils se plient, non sans scrupule, à ses volontés. Peut-être sont-ils ses futurs biographes qui croisent leurs informations, analysent, s’interrogent sur les pans obscurs de la vie de Berlioz.
Une pièce étrange un peu onirique, très psychologique. Etrangement, la musique est totalement absente au début et peu à peu elle vient appuyer les paroles, ce qui intègre des respirations dans ce texte très fourni et joué de façon intimiste où les expressions du visage ont toutes une importance.
Hélène Chevrier
25/07/2003

AVIGNON
L'ORIFLAMME
de Aude De Tocqueville
Mise en scène de Séverine Vincent
La direction veut mettre Tony à la retraite, il a presque 70 ans. Mais lui ne veut pas, il aime son métier, gardien d'immeuble, il aime ses locataires, il aime les potins. Que ferait-il sans cet environnement ? Alors il refuse, et pour asseoir sa décision, il nous raconte sa vie avec les...
L'avis de Geneviève Brissot
L'ORIFLAMME

AVIGNON



Solitude d'un ange gardien
de Aude De TocquevilleMise en scène de Séverine Vincent
La direction veut mettre Tony à la retraite, il a presque 70 ans. Mais lui ne veut pas, il aime son métier, gardien d'immeuble, il aime ses locataires, il aime les potins. Que ferait-il sans cet environnement ? Alors il refuse, et pour asseoir sa décision, il nous raconte sa vie avec les...
L'avis de Geneviève Brissot
GRENOBLE
MC2
24 place Beaumarchais
de Adèle Gascuel,brahim Koutari
Mise en scène de Catherine Hargreaves
MC2
24 place Beaumarchais
de Adèle Gascuel,brahim Koutari
Mise en scène de Catherine Hargreaves
GRENOBLE
MC2
24 place Beaumarchais
de Adèle Gascuel,brahim Koutari
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24 place Beaumarchais
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AVIGNON
Théâtre du Roi René
LES GARCONS DE LA BANDE
de Mart Crowley,adaptation : Antoine Courtray
Mise en scène de Antoine Courtray
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LES GARCONS DE LA BANDE
de Mart Crowley,adaptation : Antoine Courtray
Mise en scène de Antoine Courtray