Le bruit du silence
de Bruno Gallisa
Mise en scène de Bruno Gallisa
Avec Florence Kleinbort, Bruno Gallisa
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Jusqu'au 31/07/2003
Tous les jours à 12h30.
Théâtre de la Poulie
23, rue Noël-Biret
84000 AVIGNON
04 90 88 90 60
Dans les derniers mois de son existence, Didier s’est enfermé dans un profond mutisme, et n’a jamais parlé de sa maladie à ses proches. Il a laissé derrière lui des notes. Il a inscrit ses dernières souffrances, ses derniers espoirs, ses derniers instants de Vie.
Carole ne s’est doutée de rien. Elle a perdu brutalement son frère, atteint du SIDA.
Pour tenter d’apaiser sa douleur, d’étouffer ses colères, pour trouver enfin des réponses à ce silence, Carole (Florence Kleinbort) a décidé de mettre en scène les notes de son frère et les dernières conversations, ces conversations anodines qui veulent tant dire désormais.
Le Théâtre pour atténuer l’incessante douleur, pour commencer enfin à guérir un peu, pour revivre.
Dans cette aventure et ce défi, Carole a choisi Alexandre (Bruno Gallisa) pour incarner Didier et faire vivre ce témoignage. Et si ce jeune comédien avait lui aussi fait le choix de Carole pour évoquer cette maladie dont on ne parle pas, dont on ne veut pas parler ?
Bruno Gallisa – déjà présent à Avignon avec la mise en scène de ‘’Sucre d’orge’’ montre ici une autre facette de son talent avec cette pièce émouvante et intelligente. Son écriture juste et sensible lui permet d’évoquer avec courage et sincérité ce sujet qui effraie toujours autant, et qui est encore synonyme de Mort et de Honte.
Sa mise en scène sert le texte avec simplicité et laisse de l’espace pour de belles émotions sans jamais tomber dans le piège du drame pathétique et du psychodrame.
Il interprète également le rôle d’Alexandre à qui il donne toute sa sensibilité et sa sincérité. Une belle et remarquable performance pour cet artiste complet.
Florence Kleinbort – elle aussi présente dans ‘’Sucre d’orge’’– confirme sa générosité et sa force d’interprétation et campe le personnage de Carole avec une étonnante conviction.
Avec quelques silences de plus, la pièce gagnerait encore en intensité mais il est déjà évident que ‘’Le bruit du silence’’ mérite une programmation à Paris.
Tant que ces quatre lettres provoqueront une telle terreur, une telle incompréhension, les plateaux se devront d’accueillir de telles pièces.
Carole ne s’est doutée de rien. Elle a perdu brutalement son frère, atteint du SIDA.
Pour tenter d’apaiser sa douleur, d’étouffer ses colères, pour trouver enfin des réponses à ce silence, Carole (Florence Kleinbort) a décidé de mettre en scène les notes de son frère et les dernières conversations, ces conversations anodines qui veulent tant dire désormais.
Le Théâtre pour atténuer l’incessante douleur, pour commencer enfin à guérir un peu, pour revivre.
Dans cette aventure et ce défi, Carole a choisi Alexandre (Bruno Gallisa) pour incarner Didier et faire vivre ce témoignage. Et si ce jeune comédien avait lui aussi fait le choix de Carole pour évoquer cette maladie dont on ne parle pas, dont on ne veut pas parler ?
Bruno Gallisa – déjà présent à Avignon avec la mise en scène de ‘’Sucre d’orge’’ montre ici une autre facette de son talent avec cette pièce émouvante et intelligente. Son écriture juste et sensible lui permet d’évoquer avec courage et sincérité ce sujet qui effraie toujours autant, et qui est encore synonyme de Mort et de Honte.
Sa mise en scène sert le texte avec simplicité et laisse de l’espace pour de belles émotions sans jamais tomber dans le piège du drame pathétique et du psychodrame.
Il interprète également le rôle d’Alexandre à qui il donne toute sa sensibilité et sa sincérité. Une belle et remarquable performance pour cet artiste complet.
Florence Kleinbort – elle aussi présente dans ‘’Sucre d’orge’’– confirme sa générosité et sa force d’interprétation et campe le personnage de Carole avec une étonnante conviction.
Avec quelques silences de plus, la pièce gagnerait encore en intensité mais il est déjà évident que ‘’Le bruit du silence’’ mérite une programmation à Paris.
Tant que ces quatre lettres provoqueront une telle terreur, une telle incompréhension, les plateaux se devront d’accueillir de telles pièces.
Loick Hello
24/07/2003

GRENOBLE
MC2
de Adèle Gascuel,brahim Koutari
Mise en scène de Catherine Hargreaves
Qu’est-ce qui peut bien relier la ZUP (« zone huppée ») de Grenoble au théâtre de l’Odéon de Paris ? Le CAP plombier à l’ENA (« Ecole Nationale d’Acteurs ») ? Le terrain de foot aux planches du théâtre ? Le Maroc à la place Beaumarchais d’Echirolles ? Réponse : Brahim...
L'avis de Caroline Vernisse
MC2

GRENOBLE





24 place Beaumarchais
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L'avis de Caroline Vernisse
AVIGNON
L'ORIFLAMME
Solitude d'un ange gardien
de Aude De Tocqueville
Mise en scène de Séverine Vincent
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Mise en scène de Séverine Vincent
GRENOBLE
MC2
24 place Beaumarchais
de Adèle Gascuel,brahim Koutari
Mise en scène de Catherine Hargreaves
MC2
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Mise en scène de Catherine Hargreaves
AVIGNON
Théâtre du Roi René
LES GARCONS DE LA BANDE
de Mart Crowley,adaptation : Antoine Courtray
Mise en scène de Antoine Courtray
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Mise en scène de Antoine Courtray