Les Monologues du Vagin
de Eve Ensler
Mise en scène de Marja-Leena Junker
Avec Marie-Paule Roesgen, Marja-Leena Junker, Myriam Muller
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Jusqu'au 31/07/2003
Tous les jours à 12h30.
Théâtre du Balcon
38 rue Guillaume Puy
84000 AVIGNON
04 90 85 00 80
Trois comédiennes de talent et débordantes d’énergie Marie-Paule Rsgen, Myriam Muller et Marja-Leena Junker qui signe la mise en scène, représentant trois générations, lèvent le voile sur le … «vagin», puisqu’il faut l’appeler par son nom. Ce mot tabou qui ne l’est plus est prononcé 123 fois en 1h20 de spectacle.
Avec une aisance déconcertante, ces interprètes parlent d’un sujet qui pourtant d’habitude brûle les lèvres. Elles servent remarquablement ce texte parfois poignant, souvent drôle et toujours émouvant relatant viol, accouchement, plaisir. La mise en scène est sobre mais efficace : trois chaises délimitent le Triangle des Bermudes dont tout le monde connaît le nom mais pas la signification. Les comédiennes jouent en conservant leur texte à la main, selon la volonté de l’auteur pour montrer qu’il s’agit de témoignages. A noter la performance de Marja-Leena Junker qui dresse un tableau des différents gémissements de la femme qui prend du plaisir : un moment jouissif.
Eve Ensler dénonce les mutilations, excisions, viols et abus dont les femmes sont victimes, ajoutés à leur difficulté parfois à assumer leur sexualité. Elle aide ainsi les femmes à s’exprimer librement, à vivre mieux leur relation avec leur corps et leur féminité, et à accepter leurs souffrances.
Un excellent spectacle à prescrire aussi bien aux hommes qu’aux femmes.
Avec une aisance déconcertante, ces interprètes parlent d’un sujet qui pourtant d’habitude brûle les lèvres. Elles servent remarquablement ce texte parfois poignant, souvent drôle et toujours émouvant relatant viol, accouchement, plaisir. La mise en scène est sobre mais efficace : trois chaises délimitent le Triangle des Bermudes dont tout le monde connaît le nom mais pas la signification. Les comédiennes jouent en conservant leur texte à la main, selon la volonté de l’auteur pour montrer qu’il s’agit de témoignages. A noter la performance de Marja-Leena Junker qui dresse un tableau des différents gémissements de la femme qui prend du plaisir : un moment jouissif.
Eve Ensler dénonce les mutilations, excisions, viols et abus dont les femmes sont victimes, ajoutés à leur difficulté parfois à assumer leur sexualité. Elle aide ainsi les femmes à s’exprimer librement, à vivre mieux leur relation avec leur corps et leur féminité, et à accepter leurs souffrances.
Un excellent spectacle à prescrire aussi bien aux hommes qu’aux femmes.
Stéphane Baikoff
19/07/2003

GRENOBLE
MC2
de Adèle Gascuel,brahim Koutari
Mise en scène de Catherine Hargreaves
Qu’est-ce qui peut bien relier la ZUP (« zone huppée ») de Grenoble au théâtre de l’Odéon de Paris ? Le CAP plombier à l’ENA (« Ecole Nationale d’Acteurs ») ? Le terrain de foot aux planches du théâtre ? Le Maroc à la place Beaumarchais d’Echirolles ? Réponse : Brahim...
L'avis de Caroline Vernisse
MC2

GRENOBLE





24 place Beaumarchais
de Adèle Gascuel,brahim KoutariMise en scène de Catherine Hargreaves
Qu’est-ce qui peut bien relier la ZUP (« zone huppée ») de Grenoble au théâtre de l’Odéon de Paris ? Le CAP plombier à l’ENA (« Ecole Nationale d’Acteurs ») ? Le terrain de foot aux planches du théâtre ? Le Maroc à la place Beaumarchais d’Echirolles ? Réponse : Brahim...
L'avis de Caroline Vernisse
AVIGNON
L'ORIFLAMME
Solitude d'un ange gardien
de Aude De Tocqueville
Mise en scène de Séverine Vincent
L'ORIFLAMME
Solitude d'un ange gardien
de Aude De Tocqueville
Mise en scène de Séverine Vincent
GRENOBLE
MC2
24 place Beaumarchais
de Adèle Gascuel,brahim Koutari
Mise en scène de Catherine Hargreaves
MC2
24 place Beaumarchais
de Adèle Gascuel,brahim Koutari
Mise en scène de Catherine Hargreaves
AVIGNON
Théâtre du Roi René
LES GARCONS DE LA BANDE
de Mart Crowley,adaptation : Antoine Courtray
Mise en scène de Antoine Courtray
Théâtre du Roi René
LES GARCONS DE LA BANDE
de Mart Crowley,adaptation : Antoine Courtray
Mise en scène de Antoine Courtray