La Petite Juju
![](../img/bp-bonplan.gif)
de Angelina Galvani
Mise en scène de François Gibut
Avec Angelina Galvani, Rémi Auclair
Un conte musical racontant l’extraordinaire vie quotidienne d’une petite fille malicieuse.
Si elle n’existait pas, il faudrait l’inventer ! Et bien, la voilà, la P’tite Juju, des gros mots plein la bouche, rêveuse et délurée, un concentré de petite fille. Mettant toute sa famille à contribution, elle va nous faire partager ses expérience fabuleuses : explorer l’intérieur de la machine à laver, se perdre au supermarché, s’ennuyer à mourir, attendre la petite souris... On ne peut que se reconnaître dans ces personnages attachants, dessinés dans une langue vivante, avec un réel plaisir des mots, de leurs sons et de leurs sens, un plaisir contagieux. Souvent construites comme des contes, les histoires prennent aussi des allures de comptines, de
chansonnettes ou de rêveries et nous surprennent à chaque tournant.Pour les écrire, Angelina Galvani s’est inspirée de ses propres souvenirs d’enfance et de ses rencontres avec les enfants dans son métier de conteuse. L’univers est fait de ces sensations fortes de l’enfance : la peur des bruits la nuit, le goût des crêpes, l’envie d’avoir un chien, le plaisir de dire "caca",
l’ennui. Et si l’ambiance est plutôt drôle et joyeuse elle sait aussi nous donner des frissons, nous faire peur, mais pas trop, juste ce qu’il faut. Chaque enfant peut retrouver dans la P’tite Juju, son environnement familier (supermarché, salle de bain, école...). Mais partout de mystérieuses portes s’ouvrent et la petite fille glisse vers d’autres mondes bien à elle : la mousse dévorante s’échappe de la machine à laver et les souris volent les dents qui sont
encore dans la bouche des enfants, ici on peut voler, ici on peut avoir tout ce qu’on veut même les cheveux longs jusqu’aux fesses comme une princesse... Ce sont ces même portes qui s’ouvriront peut-être dans la vie des spectateurs... C’est une de nos ambitions en tous cas : leur en donner les clés.
chansonnettes ou de rêveries et nous surprennent à chaque tournant.Pour les écrire, Angelina Galvani s’est inspirée de ses propres souvenirs d’enfance et de ses rencontres avec les enfants dans son métier de conteuse. L’univers est fait de ces sensations fortes de l’enfance : la peur des bruits la nuit, le goût des crêpes, l’envie d’avoir un chien, le plaisir de dire "caca",
l’ennui. Et si l’ambiance est plutôt drôle et joyeuse elle sait aussi nous donner des frissons, nous faire peur, mais pas trop, juste ce qu’il faut. Chaque enfant peut retrouver dans la P’tite Juju, son environnement familier (supermarché, salle de bain, école...). Mais partout de mystérieuses portes s’ouvrent et la petite fille glisse vers d’autres mondes bien à elle : la mousse dévorante s’échappe de la machine à laver et les souris volent les dents qui sont
encore dans la bouche des enfants, ici on peut voler, ici on peut avoir tout ce qu’on veut même les cheveux longs jusqu’aux fesses comme une princesse... Ce sont ces même portes qui s’ouvriront peut-être dans la vie des spectateurs... C’est une de nos ambitions en tous cas : leur en donner les clés.
21/07/2009
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
Théâtre du Balcon
de Jean-Baptiste Barbuscia
Mise en scène de Serge Barbuscia
Pierre creuse, oui il creuse un fossé, pour qui ? pourquoi ? il ne le sait pas lui-même mais il creuse, aidé d'un moussaillon, Mousse, un ancien sans-papier. Puis vient Amel qui elle, veut reboucher le fossé. Trois personnages que tout oppose, qui veulent avoir raison, qui n'arrivent...
L'avis de Geneviève Brissot
Théâtre du Balcon
![](../img-article/Yeyeve_4QCVQK.jpg)
AVIGNON
![](../img/t.gif)
![](../img/z.gif)
![](../img/t.gif)
Le Fossé
de Jean-Baptiste BarbusciaMise en scène de Serge Barbuscia
Pierre creuse, oui il creuse un fossé, pour qui ? pourquoi ? il ne le sait pas lui-même mais il creuse, aidé d'un moussaillon, Mousse, un ancien sans-papier. Puis vient Amel qui elle, veut reboucher le fossé. Trois personnages que tout oppose, qui veulent avoir raison, qui n'arrivent...
L'avis de Geneviève Brissot