Le Médecin malgré lui
![](../img/bp-bonplan.gif)
de Moliere
Mise en scène de Andonis Vouyoucas
Avec Arnaud Appréderis, Agnès Audiffren, François Champeau, Christine Gaya, Martin Kamoun, Hervé Lavigne, Nancy Madiou, Philippe Noesen, Sébastien Todesco
Molière, en écrivant cette pièce, imagine une farce, qui renoue avec la verve de ses débuts.
Voilà un Sganarelle certes familier, raisonneur et poltron, observateur et filou, mais qui accorde les familles au lieu de les désunir. Il ne faut pas l'accuser d'être immoral : il est médecin par force et n'aime pas les coups de bâton ! Il joue donc le jeu, il consent à jouer la vaste et nécessaire comédie sociale, juste ce qu'il faut et tout le monde est content. De nos jours, la blouse blanche a remplacé la robe noire, les virus ont pris la place des "humeurs et des vapeurs". Mais la relation médecin-patient est restée la même : la peur de la maladie et de la mort mettent le médecin sur un piédestal. Ce statut confère à Sganarelle toute liberté d'action et de propos dont il abuse avec délectation. On reconnaît dans cette comédie, aux traits délibérément grossis, une critique de la médecine du XVIIe siècle et celle des charlatans de toutes les époques.
30/06/2009
![Affiche](./index_files/bando-alaffiche.png)
AVIGNON
L'ORIFLAMME
de Clemence Baron
Mise en scène de Patrick Zard'
En décembre 1989, l'une des plus effroyables et dernière dictature communiste totalitaire à l'Est de l'Europe, s'écroule. Éclate alors le scandale : la découverte des orphelinats roumains. Les témoignages, à la limite du supportables, rapportent l'horreur...
L'avis de Geneviève Brissot
L'ORIFLAMME
![](../img-article/Yeyeve_TE8695.jpg)
AVIGNON
![](../img/t.gif)
![](../img/z.gif)
![](../img/t.gif)
![](../img/z.gif)
![](../img/t.gif)
Les enfants du diable
de Clemence BaronMise en scène de Patrick Zard'
En décembre 1989, l'une des plus effroyables et dernière dictature communiste totalitaire à l'Est de l'Europe, s'écroule. Éclate alors le scandale : la découverte des orphelinats roumains. Les témoignages, à la limite du supportables, rapportent l'horreur...
L'avis de Geneviève Brissot