


Médée Kali
de Laurent Gaudé
Mise en scène de Charlie Brozzoni
Avec Dominique Vallon
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Du 06/07/2007 au 27/07/2007
A 19h30.
Le Gilgamesh Théâtre
2 bis place des Carmes
33, rue Caretterie
84000 AVIGNON
04 90 25 63 48
Site Internet
Médée Kali revient sur le lieu de sépulture de ses enfants encore frémissante de ses crimes.
En Occident, Médée, mythe éternel de la femme tellurique, femme qui se donne, donne la vie, donne la mort. Elle est la matrice originelle, golem pétri d’amour, primale, sauvage, dévastatrice. En Orient, Kali, déesse des enfers, exacerbation des sens. Mort toujours. Femme encore. Entre les deux mondes, Laurent Gaudé, mythologue inspiré, tisse une toile d’évidence. La scansion particulière de son verbe se prête à merveille au souffle de la tragédie. Pour le dire, l’incarner dans sa chair, le chuinter, l’éructer, Dominique Vallon est campée sur un socle empli de terre ocre. Médée Kali, par la volonté de Charlie Brozzoni, ne se soustraira pas au regard du monde, prisonnière de cette terre rouge du sang de ses enfants enfouis, de cette terre qu’elle foule aux pieds, qu’elle griffe, lacère et embrasse.Dominique Vallon est une belle tragédienne, crochue, dense et puissante qui excelle particulièrement dans son art lorsqu’elle atteint l’épure du non-jeu. Elle est alors dans toute sa force et son cri, Médée Kali, monstre d’amour.
Didier Dahan
24/07/2007

PARIS
Théâtre La Pépinière
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou
Théâtre La Pépinière
PARIS





MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion MezadorianMise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou

