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Catherine de Médicis tente d’unir son fils Henri le troisième du nom, pour raison d’Etat, à Elizabeth d’Angleterre, reine d’âge mur et à la vertu non consommée. Or Henri a aussi un drôle de comportement...
Catherine, entendez La Médicis, décide d’unir son fils Henri le troisième du nom, pour raison d’Etat, à Elizabeth d’Angleterre, reine d’âge mur et à la vertu non consommée. Mais Henri III en digne rejeton de sa mère, préfère butiner sous les jupons de sa sœur Margot, qui lui propose un stratagème pour éviter ce mariage.
Henri se présente donc plutôt "gay" en costume affriolant, aux ambassadeurs dépêchés par Buckingham, dont l’un Sir Edwards, n’est en réalité que la reine Elizabeth elle-même venue se rendre compte de quoi il retournait. L’un comme l’autre, ne seront pas au bout de leurs surprises ! Henri est courtisé par Lord Buckingham, ambassadeur anglais, lequel est lui-même poursuivi par les assiduités de Margot, qui elle-même finit par accepter l’invitation de minuit dans la chambre de Sir Edwards/Elizabeth, laquelle avait par ailleurs montré son attirance pour Catherine. Mais enfin, auraient-ils tous viré leur cuti ?
D’alexandrins coquins en rimes truculentes, les comédiens nous entraînent dans une farce pétillante et burlesque qui se moque de l’hypocrisie de la cour et fait fi des convenances et du protocole. Un bon moment de détente. |
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Mis à jour le 03/09/2007
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NOTEZ-LE |
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